
-
Moscou se montre plus réceptive au plan d’autonomie proposé par le Maroc : La position russe est la bienvenue
-
Mustapha El Ktiri plaide à Bakou pour une coopération internationale en matière de recherche et d’identification des disparus
-
Peines alternatives : 450 jugements prononcés à ce jour
-
L’ANLCA lance une campagne nationale de lutte contre l'analphabétisme
Cet événement, étalé sur deux jours, est marqué par la participation d’une quarantaine de services de renseignement et de sécurité africains, ainsi qu’une trentaine de délégations en provenance du Moyen-Orient, d’Europe, d’Amérique et d’Asie, en qualité d’observateurs.
Des représentants des institutions régionales des Nations Unies prennent également part aux travaux de cette réunion de haut niveau.
Dans un contexte sécuritaire marqué par la persistance et la mutation des menaces terroristes sur le continent, cette réunion s’inscrit dans la continuité des éditions précédentes tenues à Marrakech (2022), Tanger (2023) et Fès (2024).
L’intérêt porté à cette édition de la "Plateforme de Marrakech", aussi bien par les pays africains que par les partenaires internationaux, réaffirme son rôle central.
La Plateforme se confirme ainsi en tant que rendez-vous incontournable pour favoriser l’échange d’expertises, consolider la coopération régionale et identifier les priorités de renforcement des capacités dans la lutte contre le terrorisme en Afrique.