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«Trois ans d’une vie brûlés. C’est quelque chose d’inimaginable, d’inacceptable», a commenté Françoise Larribe, qui fut otage avec son mari avant d’être libérée au bout de 160 jours de détention.
Pour marquer les trois ans de détention de Thierry Dol, Marc Féret, Daniel Larribe et Pierre Legrand, treize de leurs proches avaient entamé à 03H00 (01H00 GMT) une marche d’une quinzaine de kilomètres les conduisant à l’Elysée puis au Quai d’Orsay.
Ils ont d’abord remis au siège de Vinci, employeur des otages, à Rueil-Malmaison dans la banlieue parisienne, une lettre au PDG du groupe, Xavier Huillard, avant de déposer vers 7h30 (5h30 GMT) à l’Elysée une autre missive adressée au président français.
Dimanche soir, François Hollande avait réaffirmé sur la chaîne privée TF1 avoir «des preuves» de vie des quatre Français. «Je sais ce que ça représente pour les familles. Je les ai reçues plusieurs fois», a-t-il ajouté. «Je peux leur dire, je dois leur dire que nous faisons tout pour aller les chercher».
Dans leurs lettres, une série de questions est adressée aux responsables politiques et chefs d’entreprise, notamment sur le choix et l’efficacité d’une nouvelle filière de négociations explorée par le pouvoir.
«Il faut faire pression. Il faut qu’on en parle. La lettre fait partie de ce dispositif», a expliqué Frédéric Cauhapé, beau-frère de Marc Ferret.