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Les Wydadis abordaient cette rencontre avec l’handicap d’un but concédé à l’aller. Ce n’était donc pas gagné d’avance devant une équipe syrienne repliée en défense, ne facilitant pas la tâche à un Badou Zaki, au pied du mur, puisqu’il était attendu au tournant au moindre faux pas de ses protégés. D’ailleurs, le coach wydadi s’est refusé à toute déclaration et a boudé la conférence d’après match. Un acte justifié par certains dirigeants par le fait que Zaki était malade, alors que d’autres, n’ont pas manqué d’aller vite en besogne pour annoncer son départ du staff technique du club.
Bien loin de ses meilleurs jours, le WAC a produit un jeu confus, dominant, certes, les péripéties de l’explication, mais se montrant incapable de porter un réel danger dans le camp adverse. Il faut dire que les Syriens avaient deux balles pour tuer le match, mais leurs actions furent avortées par le gardien Fegrouch, meilleur wydadi de la rencontre.
Les minutes s’égrenaient et le tableau affichait toujours le zéro pointé, résultat qualifiant les visiteurs. L’intégration en seconde période d’Ajraoui et Jouiâ a été d’un grand apport pour les Rouge et Blanc qui sont revenus de loin. Le premier joueur cité est parvenu à ouvrir le score (85ème mn) sur un but vivement contesté par l’équipe syrienne, alors que le second a doublé la mise (90ème mn) pour que le WAC se qualifie dans la douleur au prochain tour.
Le Wydad reste le seul représentant du football national dans ce tournoi, après l’élimination du Raja au second tour et du Hassania d’entrée.