-
Signature d’un mémorandum d’entente en vue du renforcement des capacités des diplomates marocains
-
Début à Banjul de la réunion des ministres des AE avec la participation du Maroc
-
L'ANRE plaide à Fès en faveur d’un réseau “robuste” d’interconnexion électrique transfrontalier en Afrique
-
Le SNPM publie son rapport annuel2023-2024 sur la liberté de la presse au Maroc
-
L’ANME fait part des axes stratégiques pour renforcer la liberté de la presse et promouvoir un environnement médiatique sain et diversifié
Selon des médias français, la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) recrutera 430 personnes dans les cinq années à venir. Il y a quelques jours seulement, le Premier ministre Manuel Valls a annoncé, dans ce contexte, le renforcement des services de renseignements. Les profils recherchés sont pointus : "Il nous faut des linguistes pour les écoutes et la surveillance multimédia, des analystes informatiques, des experts en géopolitique, des ingénieurs...", explique une source policière à la presse française, ajoutant qu’on est au coeur du métier, à savoir la recherche de renseignements pour assurer la sécurité du pays.
Les indicateurs recrutés au Maroc seraient mis en service dans les quartiers à forte présence maghrébine notamment marocaine. Ils auront pour mission de recueillir des informations avant de les fournir ensuite à leur hiérarchie. La police française manque d’informations à cause de la barrière linguistique et de la mentalité des commanditaires et des exécuteurs.
Rappelons que les renseignements français ont perdu récemment la trace de certains sympathisants de Daech, sous leur surveillance. Il est fort probable qu’ils aient rejoint la Libye pour aider leurs «frères d’armes». Des rapports sécuritaires soulignent qu’une liste de ces sympathisants de Daech, installés en Libye, et qui étaient sous surveillance des renseignements français, a été établie, à la faveur d’informations diffusées par des salafistes d’Al Qaïda, organisation rivale de Daech en Libye.