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A cet égard, l'enseignant-chercheur à l'Université Hassan II de Casablanca, Hassan Boutakka, a indiqué que la traduction se veut un levier de développement, soulignant que toute renaissance civilisationnelle est précédée d'un mouvement actif de traduction dans tous les domaines, que ce soit dans les sciences sociales, humaines ou techniques. S'agissant de la traduction de l'espagnol à l'arabe, M. Boutakka a relevé que la majorité des initiatives prises jusque-là sont individuelles et viennent des universités ou de certains écrivains.
Pour sa part, l'enseignant à l'Université Ibnou Zohr d'Agadir, Mohamed Abrighach, a fait savoir qu'à travers l'analyse des œuvres littéraires espagnoles du 19ème, 20ème et 21ème siècles, il a pu réaliser une série d'études et d'articles qui dénotent que la traduction entre les deux langues a encore beaucoup de défis à relever, notamment en matière d'édition. Et de faire observer que seulement 56 ouvrages universitaires en langue espagnole ont été publiés depuis 1986 jusqu'à présent, soit une moyenne de 1,8 livre par an.
Cette conférence, organisée par le ministère de la Culture et de la Communication avec l'ambassade espagnole et l'Institut Cervantes, a connu la participation d'un parterre de personnalités scientifiques et littéraires.










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