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Mohamed Salem Cherkaoui : L'Agence Bayt Mal Al-Qods Acharif a financé des projets d'une valeur de huit millions de dollars en 2025
“Si le ralentissement économique rend le financement des grands projets d'infrastructure difficile dans toute l'Afrique du Nord, au Maroc, le projet ambitieux d'expansion du port Tanger-Med II a le vent en poupe”, affirme le groupe.
L'expansion du port, qui devrait avoir une capacité de cinq millions de conteneurs équivalents vingt pieds (EVP), a bénéficié du financement nécessaire, ajoute la même source, rappelant l'accord signé entre Marsa Maroc et l'Agence spéciale Tanger Méditerranée (TSMA) relatif à l'exploitation du port pour les 30 prochaines années, la société marocaine comptant y investir 320 millions d'euros.
Il s'agit là d'un engagement sérieux, indique le cabinet londonien, soulignant que le succès de Tanger-Med I montre que le secteur des transports marocain a le potentiel de se développer davantage.
En se fixant un objectif de huit millions de conteneurs EVP d'ici 2015, Tanger-Med vise à devenir un des plus grands ports de conteneurs au monde, souligne le cabinet.
Le port “a permis au Maroc de passer de la 75ème place mondiale, en termes de routes et de liaisons, à la 30ème”, a confié au groupe Mohammed Abdeljalil, président de Marsa Maroc, ajoutant que le Maroc était maintenant, avec l'Egypte et l'Afrique du Sud, “un des trois pays les plus compétitifs en matière de liaisons maritimes”.
Bien que le trafic international des conteneurs ait baissé de 10 % depuis le début du ralentissement économique au niveau mondial, le Maroc s'en est mieux sorti que les marchés mondiaux qui, eux, ont connu une baisse moyenne de 20 %, selon M. Abdeljalil. “Le secteur maritime et portuaire du Maroc a été relativement épargné parce que les échanges Nord-Sud ont moins souffert de la crise que les échanges Est-Ouest”, a-t-il expliqué.











