-
Généralisation des systèmes de “Rendez-vous” et du “eTimbre” à l'ensemble des Missions diplomatiques et postes consulaires
-
Abdeltif Loudyi s’entretient avec le président du Comité militaire de l'OTAN
-
Crimes récurrents et systématiques perpétrés par la junte algérienne à Tindouf
-
Le Forum de dialogue des magistrats africains se penche à Addis-Abeba sur son plan d'action 2024-2026
-
Nizar Baraka réélu secrétaire général du Parti de l’Istiqlal
Dans ce cadre, les mesures nécessaires seront prises l’année prochaine pour l’élaboration des textes pour le renouvellement des listes électorales générales et des Chambres professionnelles et les préparatifs du scrutin, a-t-il annoncé devant les membres de ladite commission.
S’agissant des formations politiques, Mohand Laenser a tenu à rappeler aux parlementaires que depuis l’entrée en vigueur de la loi sur les partis, son département s’est penché sur l’élaboration des décrets relatifs à la distribution de la subvention accordée aux partis et l’exploitation par ces formations des salles publiques relevant de l’Etat. Ces décrets définissent également le mode de répartition desdites subventions et arrêtent les conditions d’exploitation de ces salles.
Pour ses actions futures, le ministère, a fait savoir Mohand Laenser, œuvre en coordination avec le secrétariat général du gouvernement à l’élaboration de la loi organique fixant les conditions pour que les partis politiques puissent bénéficier des programmes de formation organisés par l’administration relatifs à la gestion de leurs affaires et l’accomplissement de leurs mission.
A rappeler que Mohand Laenser avait annoncé, en mai dernier, devant la Chambre des représentants que le gouvernement a été confronté à une série de problèmes techniques liés au manque de textes législatifs régissant les nouvelles dispositions contenues dans la Loi suprême, notamment celles relatives à la régionalisation élargie et aux collectivités locales.
L‘organisation des prochaines échéances électorales, prévues au Maroc, avait-il souligné, nécessite la promulgation de 30 décrets et décisions et de trois lois organiques, ainsi que l’adoption d’un nouveau découpage régional.
Une tâche qui s’annonçait difficile vu les nombreuses consultations entre le gouvernement et l’ensemble des composantes de la scène politique nationale qui avaient pour finalité d’éviter d’apporter des modifications à la hâte aux lois en question et d’empêcher l’ajournement des élections.