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Ces troupes auraient été déplacées vers ce que certains appellent les points noirs proches de la zone de Guergarat. Au cours de ces manœuvres, la milice du Polisario ferait usage de tout son arsenal de guerre sous la direction d’officiers algériens. Ce serait un pléonasme de dire que cet arsenal est financé par l’Algérie qui n’hésite pas à priver les populations algériennes pour financer les manœuvres de la milice du Polisario.
Dans les milieux marocains, l’opération ne dérange pas outre mesure car les milices du Polisario ont l’habitude de provoquer des tensions coïncidant avec les réunions du Conseil de sécurité; ou après tout revers qu’essuie le Polisario.
Cette fois-ci, la manœuvre du Polisario coïncide avec la décision du Général du corps d’armée, Bouchaib Arroub, de redéployer plusieurs casernes pour les placer près des zones de tension à Guerguerat, décision prise suite à une réunion tenue avec de hauts officiers de la zone Sud dont il est le commandant.
Les agissements d’Alger et de ses marionnettes de Tindouf ont pour contexte, outre le verdict favorable au Maroc de la CJUE, la campagne diplomatique réussie du Royaume dans plusieurs pays du continent africain, pour baliser le terrain en vue de son retour dans l’Union africaine.
Par ailleurs, des voyageurs en provenance de Nouadhibou démentent ce que de nombreux médias pyromanes mauritaniens et d’autres proches du Polisario ont rapporté, confirmant que les éléments de la prétendue gendarmerie du Polisario ont pris le contrôle de la zone tampon entre le Maroc et la Mauritanie, imposant des taxes sur les transports marocains se rendant en Mauritanie et un cachet sur les passeports.
Nos sources ont indiqué que la présence du Polisario dans cette zone se limite à deux tentes de fortune regroupant six éléments et que cette présence n’a rien changé à la situation qui prévalait avant ce qui s’appelle la crise de Guerguerat, ajoutant que tous ces bruits autour de cette situation ne sont qu’une polémique propagée par le Polisario pour faire taire les mécontents des camps.