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La bureaucratie asphyxie les réformes
Dans ce cadre, le Groupe socialiste-Opposition ittihadie à la Chambre des représentants a appelé à une réunion d'urgence de la Commission de l'enseignement, de la culture et de la communication, en présence du ministre de l'Education nationale, afin de discuter des raisons justifiant cette décision, ainsi que de son impact sur la gestion de la chose éducative.
Le Groupe socialiste a souligné que cette mesure intervient dans un contexte marqué par de grands défis dans le secteur éducatif. Ce qui soulève des interrogations quant à sa cohérence avec les exigences de la réforme de l’enseignement dans notre pays.
Il a également critiqué le timing de cette décision, prise en plein milieu de l’année scolaire. Selon le Groupe socialiste, le gouvernement aurait dû privilégier la stabilité des institutions éducatives, d’autant plus que cette période est cruciale pour les élèves et le personnel éducatif, avec l’approche des examens certifiants et la poursuite de la mise en œuvre de la réforme du système éducatif national.
En plus, le Groupe socialiste a assuré que la manière dont cette décision a été prise se caractérise par l’improvisation et l’absence de concertation avec les acteurs du système éducatif et les partenaires sociaux, ce qui accroît l’incertitude au sein de ce secteur clé. Il a affirmé que tout changement au niveau des responsabilités administratives devrait reposer sur des critères clairs et transparents, prenant en compte les compétences et l’expérience, et visant à assurer la stabilité du système éducatif plutôt qu’à provoquer des perturbations injustifiées au milieu de l’année scolaire.
Pour toutes ces considérations, le Groupe socialiste demande des clarifications officielles sur les fondements de ces changements et leur impact sur la mise en œuvre des réformes éducatives. Il a insisté sur la nécessité d’interpeller le gouvernement quant à son engagement à garantir une bonne gouvernance dans la gestion du secteur de l’éducation nationale.
H.T