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Mais cette fois, les parents des portés disparus ont choisi d’organiser leurs marches à l’intérieur des camps pour demander que justice soit faite. Ainsi, les protestataires qui ont sillonné les différents camps réclament que les tortionnaires qui ne cessent d’évoluer dans les structures du Polisario soient démis et déférés devant la justice internationale pour les crimes qu’ils ont commis. Les manifestants soulignent que lors d’un entretien avec une chaîne de télévision mauritanienne, Mohamed Abdelaziz avait déclaré que ce dossier était clos. Or, disent-ils, ce dernier avait décidé que ce dossier ne doit pas être ouvert. Les familles des portés disparus qui ne voient aucun signe indiquant une amélioration de leurs conditions de vie revendiquent les restes des leurs dont ils ignorent tout.
Pour parvenir à leurs fins, disent-ils, ils sont disposés à entreprendre toutes les démarches et à déposer une plainte auprès de la CPI contre les tortionnaires qui sont connus de tous.
Comment, se demandent-ils dans une lettre publiée par un site web proche du Polisario, Abdelaziz veut-il que nous oubliions les nôtres, alors que la chaîne de télévision dirigée par l’un de ces tortionnaires, ne cesse de déffuser des comptes rendus de leurs différentes activités? A ce sujet, ils rappellent que dans son dernier rapport, Amnesty international a indiqué que le Polisario n’a rien fait pour lever l’immunité des tortionnaires qui continuent d’occuper les plus hauts postes de responsabilité au sein de sa direction. Ce qui suppose, ajoute la lettre, que ses dirigeants sont complices de ces criminels qu’ils ne cessent de protéger.