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Et c’est dans ce cadre que le comité provincial de l’INDH s’est réuni récemment pour dresser le bilan relatif aux projets de 2014-2015, et s’enquérir de l’état d’avancement de ceux déjà initiés, tout en faisant part des contraintes qui empêchent leur réalisation.
Une enveloppe de 79.846.000.00 dirhams, a été, en effet, allouée particulièrement à l’infrastructure en faveur de 62 projets dont 22 ont été totalement réalisés, alors que le reste est en cours d’achèvement.
Lors de cette réunion, de nouvelles décisions ont été prises par le comité pour mettre en place un ensemble de mécanismes visant à veiller sur les réalisations, défendre les acquis et à faire face aux contraintes majeures qui risquent d’entraver le bon déroulement des projets.
Il s’agit, en effet, de trouver des terrains pour la réalisation de certains projets, annuler ceux qui se heurtent à des difficultés insurmontables, renforcer les dispositifs concernant certains projets à caractère social tels que les terrains de sport de proximité et créer une commission de suivi.
Force est de noter, enfin, que les collectivités locales doivent désormais augmenter leur contribution budgétaire au profit de l’INDH, aux côtés des services de l’Etat et des représentants du tissu associatif, l’objectif étant de créer un espace de concertation garantissant la bonne gouvernance.
Comme quoi, sans cette lueur d’espoir de l’INDH, Khouribga, réputée pourtant être la capitale mondiale des phosphates, serait une ville morte.








