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Des dirigeants arabes et musulmans lundi au Qatar pour condamner l'attaque israélienne
Les journalistes accrédités et ceux qui commentent depuis leurs chaises confortables de desks se transforment le temps d'un article en activistes sympathisants et en juges et partie. Ils commencent par saboter, puis égratigner, et enfin tuer de sang-froid. Cela ne doit pas rester sans suite. Tout le monde devrait se sentir un jour régi par une loi, des normes et des limites. Personne n'est au-dessus de la loi. Mais pourquoi donc ce traitement catastrophique des événements de Laâyoune?
C'est simple, le Maroc semble constituer une matière d'information assez attractive en Espagne. Et un sentiment de supériorité fortifie cette dose du droit d'ingérence. Et le néo-colonialisme reprend du service. Une manière de dissimuler aussi le legs colonial toujours persistant. Tous ces journalistes et défenseurs ardents des droits humains et des peuples se trouvent subitement amnésiques quant à l'occupation par leur pays de territoires marocains. Au fait, au nom de quoi se permet-on toutes ces fantaisies et toutes ces gesticulations ? Si la déontologie a été bafouée au grand jour, c'est peut-être par passion séparatiste. Dans ce cas, charité bien ordonnée commence par soi-même.