-
Le CNDH plaide à Genève pour une gouvernance équitable de l'eau et de l’énergie fondée sur les droits humains
-
Khadija Bendam nommée présidente du Conseil international des sociétés nucléaires
-
Appel au respect des règles juridiques encadrant le traitement des avis de recherche
-
Marhaba 2025 : Affluence "record" avec plus de 4 millions de MRE accueillis
Ces associations ont affirmé qu’elles défendront les principes de la prééminence des conventions internationales sur les lois locales, les libertés individuelles et collectives, l’égalité entre les sexes, la liberté de croyance et la constitutionnalisation de la langue amazighe.
Dans un document adressé à l’opinion publique, elles ont demandé à ce que la Constitution soit fondée sur les principes de la modernité afin d’assurer la justice sociale et le respect des droits humains tels qu’ils sont universellement reconnus.
En réponse aux journalistes présents, Kamal Lahbib, secrétaire général du FMAS, a souligné que le Mouvement du 20 février soutient les positions de ces associations qui milite pour la liberté et la démocratie. Il a affirmé que ces organisations aspirent à un changement pacifique et civilisé loin des violences régnant dans d’autres pays de la région.
Il a, par ailleurs, indiqué qu’il était temps pour que tous les démocrates s’unissent pour exiger le respect des libertés dans la Constitution et dans la pratique. Ceci d’autant plus que les forums sociaux peuvent jouer un rôle important au Maroc et dans la région. Selon lui, ces forums vont, dans les prochains mois, assurer l’échange et le partage d’expériences entre les différents mouvements sociaux revendicatifs.
Pour Houria Esslami, présidente de la Fondation Driss Benzekri, le tissu associatif militant au sein de la société civile défendra le principe de la prééminence des lois et conventions internationales sur le droit positif national et ne céderont en aucun cas aux propos antidémocratiques des courants rétrogrades.