Le FUS de Rabat donnera la réplique, aujourd’hui à partir de 17 heures au stade 11 juin à Tripoli, à la formation libyenne d’Al Ittihad pour le compte des demi-finales aller de la Coupe Orange de la Confédération africaine de football (CAF).
Après avoir créé la surprise, déjouant dans un premier temps les pronostics, le Fath a confirmé par la suite que ses performances ne sont aucunement dues au hasard. Loin de là, l’équipe rbatie avait annoncé la couleur d’entrée, dès les tours de chauffe, en barrant le chemin au tenant du titre, le Stade Malien. En abordant la formule des groupes, tout le monde s’accordait à dire qu’en atteignant ce stade avancé de la compétition, ce n’est que du bonus et que la qualification au dernier carré ne devra pas être une pression qui pèsera de tout son poids sur les épaules des Fussistes, surtout qu’ils ont hérité dans leur poule de sacrés calibres de la trempe des Tunisiens du CS.Sfaxien, doubles lauréats de l’épreuve, et des Egyptiens de Haras Al Houdoud, un adversaire, certes, un peu moins au-dessous du calibre du National du Caire ou du Zamalek, mais qui dispose de tous les atouts de pouvoir briller sur la scène continentale.
Sauf que c’était mal connaître les Fussistes, une formation au sein de laquelle jeunes et chevronnés font bon ménage, le tout sous la conduite du technicien Houcine Ammouta qui a démontré au fil des rencontres qu’il avait plus d’un tour dans son sac. La preuve est que, dans la formule des groupes, le FUS n’a perdu qu’une seule rencontre à Sfax, alignant par la suite des succès pour terminer en pole position.
Face à Al Ittihad, club dans lequel évolue le joueur marocain Hamid Boujar, ça sera une autre paire de manches. Pour cette première rencontre, sifflée par un trio arbitral sénégalais, le FUS est conscient de l’âpreté de la tâche, à commencer par l’entraîneur Ammouta qui s’est dit confiant et croit en ses joueurs, mieux aguerris, après quinze rencontres au titre de ce tournoi de la CAF. Pour lui, cette explication a le caractère d’un derby et se jouera sur de petits détails. Ajoutant qu’il faut négocier intelligemment le premier acte en vue d’aborder le second à domicile dans de parfaites conditions.
Un optimisme mesuré affiché par toute la délégation fussiste qui croit à fond en ses chances. Certes, l’adversaire qui sera soutenu par son public est un sacré morceau, mais ça reste un match jouable pour les partenaires de Hamouda Benchrifa, tous décidés à aller jusqu’au bout dans cette magnifique campagne africaine.
A rappeler que la seconde demi-finale de cette C2 aura lieu samedi, toujours à 17 heures, entre le Club Sportif Sfaxien et le Hilal soudanais.
Après avoir créé la surprise, déjouant dans un premier temps les pronostics, le Fath a confirmé par la suite que ses performances ne sont aucunement dues au hasard. Loin de là, l’équipe rbatie avait annoncé la couleur d’entrée, dès les tours de chauffe, en barrant le chemin au tenant du titre, le Stade Malien. En abordant la formule des groupes, tout le monde s’accordait à dire qu’en atteignant ce stade avancé de la compétition, ce n’est que du bonus et que la qualification au dernier carré ne devra pas être une pression qui pèsera de tout son poids sur les épaules des Fussistes, surtout qu’ils ont hérité dans leur poule de sacrés calibres de la trempe des Tunisiens du CS.Sfaxien, doubles lauréats de l’épreuve, et des Egyptiens de Haras Al Houdoud, un adversaire, certes, un peu moins au-dessous du calibre du National du Caire ou du Zamalek, mais qui dispose de tous les atouts de pouvoir briller sur la scène continentale.
Sauf que c’était mal connaître les Fussistes, une formation au sein de laquelle jeunes et chevronnés font bon ménage, le tout sous la conduite du technicien Houcine Ammouta qui a démontré au fil des rencontres qu’il avait plus d’un tour dans son sac. La preuve est que, dans la formule des groupes, le FUS n’a perdu qu’une seule rencontre à Sfax, alignant par la suite des succès pour terminer en pole position.
Face à Al Ittihad, club dans lequel évolue le joueur marocain Hamid Boujar, ça sera une autre paire de manches. Pour cette première rencontre, sifflée par un trio arbitral sénégalais, le FUS est conscient de l’âpreté de la tâche, à commencer par l’entraîneur Ammouta qui s’est dit confiant et croit en ses joueurs, mieux aguerris, après quinze rencontres au titre de ce tournoi de la CAF. Pour lui, cette explication a le caractère d’un derby et se jouera sur de petits détails. Ajoutant qu’il faut négocier intelligemment le premier acte en vue d’aborder le second à domicile dans de parfaites conditions.
Un optimisme mesuré affiché par toute la délégation fussiste qui croit à fond en ses chances. Certes, l’adversaire qui sera soutenu par son public est un sacré morceau, mais ça reste un match jouable pour les partenaires de Hamouda Benchrifa, tous décidés à aller jusqu’au bout dans cette magnifique campagne africaine.
A rappeler que la seconde demi-finale de cette C2 aura lieu samedi, toujours à 17 heures, entre le Club Sportif Sfaxien et le Hilal soudanais.
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