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S’exprimant à cette occasion, le vice-président du Forum de la dignité pour les droits de l’Homme, Boubker Noureddine, a souligné que ce cycle de formation vise à enrichir le débat public quant aux pratiques visant à réduire voire éradiquer les différentes formes et manifestations de torture.
Il a également signalé que les autorités marocaines doivent mener des enquêtes adéquates pour poursuivre en justice et punir sévèrement toute personne impliquée de loin comme de près dans des actes de torture ou du mal traitement, notant que le droit marocain interdit ces pratiques qui constitue une flagrante violation des droits de l’Homme.
Et d’ajouter que les dispositions de la Constitution de 2011 consacrent le respect des droits de l’Homme et des valeurs humanitaires.
Les participants ont aussi traité, lors de cette rencontre, de l’évaluation psychique des allégations de torture ainsi que de l’apport et la contribution des magistrats dans l’identification des situations de torture.
A rappeler que le Maroc avait ratifié en 1993 la Convention des Nations Unies contre la torture et voté en février 2013 le protocole facultatif se rapportant à cette convention.








