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Rupture du soutien aux familles nécessiteuses de Zagora, menaces sanitaires résultant de la prolifération des marécages et des décharges clandestines à Al Oulfa et situation des enseignants suspendus
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Saint-Christophe-et-Niévès réitère sa position constante en faveur de la souveraineté du Maroc sur son Sahara et de son intégrité territoriale
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Omar Hilale met à nu les violations des droits de l’Homme endurées par les populations vivant dans les camps de Tindouf
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Coup d'envoi à Rabat de la 33ème session de la Conférence régionale de la FAO pour l'Afrique
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Célébration du 77ème anniversaire de la visite historique de feu SM Mohammed V à Tanger
En plus des Parlements membres de l’Union, plusieurs organisations parlementaires régionales et internationales ainsi que des intervenants de divers horizons sont invités à apporter leur contribution à cette initiative parlementaire.
Il est à rappeler que l'Assemblée générale des Nations unies, au terme de sa 72ème session, avait désigné le Royaume du Maroc pour abriter la Conférence internationale sur la migration de 2018, durant laquelle sera adoptée « Le Pacte national pour des migrations sûres, ordonnées et régulières ».
La réunion parlementaire de Rabat sera une occasion de débattre des moyens de mise en œuvre du Pacte mondial et son accompagnement au niveau législatif.
Les participants à la réunion ambitionnent de faire entendre la voix des peuples qu’ils représentent, en prônant une approche à la fois réaliste et solidaire, basée sur le co-développement et le respect des droits humains.
Ils entendent aussi attirer l'attention des représentants des gouvernements qui se réuniront à Marrakech et l'opinion publique internationale, sur la montée de l'intolérance et la dangerosité des raccourcis entre migration et insécurité, qui s'exacerbent au gré de la recrudescence du repli identitaire.
Aux peuples du monde, les parlementaires voudraient adresser un message d’espoir en rappelant que les mouvements de populations n'ont jamais cessé depuis le début de la civilisation humaine et qu'il ne faut pas céder à la logique de la confrontation, qui ouvre la voie à l'instrumentalisation politique du phénomène migratoire, et qui ne sert aucunement la cause de la paix dans le monde.