Elles s’appellent Fatima Zahra, Nadia et Lina. Avec ces trois coqueluches du tennis féminin national, le Maroc a de bonnes raisons d’aspirer à être mieux loti en Fed Cup.
Fatima Zahra El Allami, au prix d’inestimables efforts, est parvenue à forcer le respect à l’échelon national, arabe et continental. Elle le doit aussi à l’ACSA, son club de toujours et au Royal de Fès, son parrain et club d’adoption.
Sa dauphine n’est autre que la Cociste Nadia Lalami qui, après une belle confirmation aux mêmes niveaux, vient d’opter pour l’école espagnole et Barcelone, pour plus d’éclat.
Et c’est justement à Barcelone que la plus jeune des trois, Lina Bennani, était partie peaufiner son tennis.
Lina est très attendue comme étant un espoir certain du tennis national féminin.
Enfin un petit coucou pour celle qui a su faire admirer les dons marocains sur les courts helvétiques, Sarah Moundir qui, à 17 ans, vient de s’imposer comme championne de Suisse.
Fatima Zahra El Allami, au prix d’inestimables efforts, est parvenue à forcer le respect à l’échelon national, arabe et continental. Elle le doit aussi à l’ACSA, son club de toujours et au Royal de Fès, son parrain et club d’adoption.
Sa dauphine n’est autre que la Cociste Nadia Lalami qui, après une belle confirmation aux mêmes niveaux, vient d’opter pour l’école espagnole et Barcelone, pour plus d’éclat.
Et c’est justement à Barcelone que la plus jeune des trois, Lina Bennani, était partie peaufiner son tennis.
Lina est très attendue comme étant un espoir certain du tennis national féminin.
Enfin un petit coucou pour celle qui a su faire admirer les dons marocains sur les courts helvétiques, Sarah Moundir qui, à 17 ans, vient de s’imposer comme championne de Suisse.
Aux caporaux le Graal de la bêtise
