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Selon le journal français en ligne « Jeune Afrique » qui a été le premier à révéler l’information, Brahim Ghali (73 ans), souffrirait d’un cancer de l’appareil digestif. Mais ce ne serait pas son cancer qui serait à l’origine de son évacuation d’urgence par avion médicalisé affrété par la présidence algérienne vers l’Espagne où plusieurs mandats avaient été lancés contre lui pour crimes contre l’humanité mais plutôt les négociations menées par le président algérien en personne qui ont abouti à l’engagement du chef du gouvernement espagnol en garantissant que le chef des séparatistes ne sera pas inquiété par la justice. Ce qui justifie sa fausse identité sous le nom de Mohamed Ben Battouche et sa fausse nationalité algérienne. Cet arrangement a été adopté après que le gouvernement allemand a rejeté la possibilité de l’accueillir. Notons que pour son cancer et c’est ce que savent pertinemment les internautes des camps, Brahim Ghali a toujours été hospitalisé à Tindouf où il avait l’habitude de recevoir la visite du chef d’état-major de l’armée algérienne, le général Saïd Chengriha, d’où les nombreuses hypothèses émises dernièrement sur la maladie du sempiternel chef des séparatistes.
Parmi ces hypothèses, la plus persistante est qu’il aurait été touché lors du raid des FAR sur une colonne du Polisario qu’il conduisait et qui s’était soldé par la mort de plusieurs membres de son staff, selon des sources médiatiques concordantes. Cette hypothèse est étayée par le fait que la disparition de Brahim Ghali remonte au jour du raid. Selon ces internautes, cette hypothèse est la plus proche de la réalité et justifie le silence de la direction du Polisario sur cette disparition qui, sans l’indiscrétion des médias, n’aurait jamais été portée à la connaissance des résidents des camps.
Ahmadou El-Katab