-
Généralisation des systèmes de “Rendez-vous” et du “eTimbre” à l'ensemble des Missions diplomatiques et postes consulaires
-
Abdeltif Loudyi s’entretient avec le président du Comité militaire de l'OTAN
-
Crimes récurrents et systématiques perpétrés par la junte algérienne à Tindouf
-
Le Forum de dialogue des magistrats africains se penche à Addis-Abeba sur son plan d'action 2024-2026
-
Nizar Baraka réélu secrétaire général du Parti de l’Istiqlal
Le choix des Sahraouis s’explique, a-t-il ajouté, par la présence de 12.000 d’entre eux au Maroc, dont des membres fondateurs du Polisario, qui ont choisi de rallier la mère patrie exprimant ainsi leur marocanité.
Les autorités marocaines, souligne-t-il, doivent bien gérer cet avantage, sachant que les Etats-Unis ont fait preuve d’une position aux antipodes de ce que nous pouvions supposer, que l’Espagne connaîtra, sans aucun doute, l’avènement d’un gouvernement de gauche qui épousera les thèses des séparatistes et que l’avenir nous réserverait, peut-être, d’autres surprises. La balle est, donc, dans le camp des autorités marocaines qui doivent mettre le dossier entre les mains des patriotes sahraouis marocains fidèles et qui ont déjà opté pour l’autonomie. Ce qui mettra à nu la thèse mensongère selon laquelle les séparatistes seraient les seuls représentants des Sahraouis. Nous avons devant nous 12 mois pour convaincre le monde entier que le Polisario ne représente pas les Sahraouis dont la majorité a opté pour l’autonomie sous la souveraineté de leur pays, le Maroc. Les derniers évènements doivent nous servir de leçon et nous inciter à élaborer une stratégie réaliste, à même de convaincre tout le monde, a-t-il ajouté.
S’agissant de la prorogation du mandat de la MINURSO, Bachir Dkhil a déclaré que le Conseil de sécurité n’avait d’autres choix que de demander aux différentes parties de poursuivre les négociations en vue de trouver une solution à ce conflit artificiel.