-
Omar Hilale dénonce les pressions de l'ambassadeur algérien sur les délégations soutenant la marocanité du Sahara
-
Les camps de Tindouf en Algérie, un foyer de tensions et une bombe à retardement
-
Ferme volonté de renforcer la coopération entre la Banque mondiale et le Maroc
-
Le président d'Interpol salue le leadership du Maroc
-
L’Agence nationale des eaux et forêts tenue de faire avec
Dans son intervention sur le sujet «Quoi de neuf dans l’affaire du Sahara marocain», le conférencier a précisé que la réconciliation effective et réelle demande un dialogue qui permette de confronter les points de vue à propos de la patrie et du patriotisme, ajoutant que le «Front populaire pour la libération de Sakia Al-Hamra et Oud Eddahab, devenu Polisario» a été fondé par des Sahraouis marocains qui voulaient lutter contre le colonialisme espagnol, alors que l’actuel Front séparatiste est une création de l’Algérie. Il a précisé que, pour l’avoir soulevé, il a été emprisonné par les valets de l’Algérie au cours des années quatre vingts.
D’Khil s’est, par ailleurs demandé : «qui représente qui dans une pareille situation où la misère continue de ravager les séquestrés de Tindouf ainsi que l’atteste le rapport de l’Union européenne relatif à cette situation que le Polisario exploite comme carte de chantage ? »
Bachir qui est a été élu premier membre arabe et africain de l’Académie Royale diplomatique de Séville que dirige la cousine du roi Felipe s’est félicité de la participation du Maroc à la réunion de Genève consacrée aux aides humanitaires internationales destinées aux camps de Tindouf, considérant que cette participation s’inscrit dans le cadre de la protection par l’Etat de la dignité du citoyen.
A rappeler que cette conférence a été animée par Abdelhamid Jmahiri et Karima Khorcha, en présence notamment de Hassan Aourid et de Moustafa Bouaâzizi.