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En réponse à une question orale à la Chambre des conseillers posée par le Groupe socialiste, le ministre de l’Education nationale a fait savoir que le nombre d’étudiants de l’enseignement privé a connu une hausse annuelle de 11,2 % ces dernières années, passant de 576.700 élèves en 2009-2010 à 641.344 en 2010-2011.
Ainsi, le nombre total des élèves inscrits dans le privé représente 1,1 % au titre de l’année 2010-2011 de l’ensemble des élèves au Maroc, dans la perspective d’atteindre 20 % en 2015.
Par ailleurs, le ministre a souligné l’importance qu’accorde son département à l’encadrement et à la supervision pédagogique et administrative du secteur privé, en vue de promouvoir la qualité de cet enseignement et de s’assurer de la conformité de ces établissements aux programmes et à l’utilisation des moyens pédagogiques.
Pour ce faire, a-t-il dit, les académies et les délégations du ministère tiennent à inclure les établissements d’enseignement privé dans les programmes annuels de supervision, d’inspection et d’encadrement pédagogique.
Au sujet des frais de scolarité, le ministre a indiqué que la loi 06/00 régissant l’enseignement scolaire privé et les textes de son application ne prévoient pas la régulation et le contrôle des prix de la scolarité par le ministère, puisque les tarifs obéissent à la logique de l’offre, de la demande et de la qualité des services exigés par les parents des élèves.
Le ministre a rappelé, dans ce sens, la note publiée le septembre 2011 mettant l’accent sur la nécessité de déclarer les frais d’inscription par les établissements d’enseignement privé et appelant les académies et délégations à tenir des réunions avec les associations représentant le secteur afin de les sensibiliser quant à la nécessité d’afficher les tarifs.