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Cette performance résulte de l’amélioration des recettes ordinaires, en relation avec la hausse des recettes fiscales et de celles non fiscales, explique le DEPF, qui vient de publier sa note de conjoncture pour le mois de janvier 2015.
Les recettes ordinaires, en ligne avec les prévisions initiales de la loi de Finances, ont été réalisées au terme des 11 premiers mois de 2014 à hauteur de 91,7%, totalisant 190,5 MMDH, en hausse de 6,1% par rapport à fin novembre 2013, précise la DEPF.
Les recettes fiscales ont été exécutées à hauteur de 87,1% des prévisions initiales pour atteindre 156,9 MMDH, en hausse de 3,1% par rapport à l’année précédente, contribuant ainsi à hauteur de 43,2% de la hausse des recettes ordinaires.
Ce résultat a découlé, particulièrement, de la hausse des recettes de l’IS, des droits d’enregistrement et de timbre et des TIC, ajoute la même source.
Pour leur part, les recettes non fiscales se sont accrues de 23,7% par rapport à fin novembre 2013 pour s’établir à 30,8 MMDH, se concrétisant ainsi à hauteur de 125,4%. Cette amélioration s’explique d’une part par le raffermissement des autres recettes non fiscales de 53,4% à 19,4 MMDH, soit un taux de réalisation de 141,6%.
Concernant le taux d’exécution des dépenses ordinaires, il s’est établi à 90,2% à fin novembre 2014 pour atteindre 194,4 MMDH, en hausse de 2,7% par rapport à fin novembre 2013.
Cette évolution est attribuable à la hausse des dépenses de personnel de 2,2% à 92,8 MMDH, soit un taux d’exécution de 89,5%, et de celles des autres biens et services de 20,3% à 47,3 MMDH, soit un taux de réalisation de 89,3%.
Concernant les dépenses d’investissement, elles ont atteint 46,1 MMDH, en hausse de 10,1% en glissement annuel. Par rapport aux prévisions initiales, elles se sont réalisées à hauteur de 105,5%.








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