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Réunie depuis le 8 octobre, la IVème Commission de l’ONU a clôturé ses travaux lundi après les avoir consacrées, entre autres, à la question du Sahara.
La quatrième Commission de l'Assemblée générale de l'ONU a adopté, en effet, sans vote, un projet de résolution sur le Sahara marocain, réitérant l'appui des Nations unies au processus de négociation et loue les efforts déployés à cet égard, souligne le projet de résolution
Ce projet invite, notamment, les Etats de la région à soutenir les efforts engagés sous les auspices des Nations unies et à coopérer les uns avec les autres dans la recherche d'une solution politique mutuellement acceptable au différend régional sur le Sahara.
Le projet de résolution appelle, également, les parties à continuer à faire preuve de volonté politique et à travailler dans une atmosphère propice au dialogue afin d'entrer de bonne foi et sans conditions préalables, dans une phase de négociation plus intense, en prenant note des efforts consentis et des développements depuis 2006.
Dans une déclaration à la presse, suite à l'adoption de cette résolution, l'ambassadeur du Maroc à l'ONU, Mohamed Loulichki, s'est félicité de la "convergence de l'Assemblée générale et du Conseil de sécurité sur leur appui au processus de négociation initié par la présentation par le Maroc de sa proposition d'autonomie".
Par ailleurs, l’Union européenne (UE) a réaffirmé son soutien aux efforts déployés par le secrétaire général, et par son envoyé spécial, Christopher Ross, pour parvenir à une solution juste, durable et mutuellement acceptable.
Tout en se félicitant de l’engagement des parties à continuer de faire montre de la volonté politique nécessaire en vue d’une solution, l’UE reste concernée par les implications du conflit au Sahara sur la sécurité et la coopération dans la région, a indiqué la représente de Chypre qui s’exprimait au nom de l’UE. L’Union européenne encourage les parties à collaborer avec le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés en vue de renforcer les mesures de confiance. C’est ce qu’a fait savoir Mohamed Loulichki en déclarant que par cette résolution, l'Assemblée générale "reconnaît ipso facto la nécessité du recensement des populations des camps de Tindouf, conformément au Droit international humanitaire et à la pratique du Haut commissariat pour les réfugiés".
Il a ajouté, qu'en faisant siennes les résolutions du CS de l'ONU, l'Assemblée confirme la prééminence et l'adéquation de l'initiative d'autonomie à l'objectif recherché, à savoir une solution de compromis où personne ne sera perdant et tout le monde sera gagnant".
L'ambassadeur a, en outre, réitéré la "disponibilité du Maroc à oeuvrer sans relâche à la relance du processus de négociation sur des bases claires et saines systématiquement réaffirmées depuis cinq ans par le Conseil de sécurité".
A rappeler que le processus de négociations a été initié par la résolution 1754 (2007) et soutenu par les résolutions 1783 (2007), 1813 (2008), 1871 (2009), 1920 (2010), 1979 (2011) et 2044 (2012) du Conseil de sécurité de l'ONU, en vue de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable.
La quatrième Commission de l'Assemblée générale de l'ONU a adopté, en effet, sans vote, un projet de résolution sur le Sahara marocain, réitérant l'appui des Nations unies au processus de négociation et loue les efforts déployés à cet égard, souligne le projet de résolution
Ce projet invite, notamment, les Etats de la région à soutenir les efforts engagés sous les auspices des Nations unies et à coopérer les uns avec les autres dans la recherche d'une solution politique mutuellement acceptable au différend régional sur le Sahara.
Le projet de résolution appelle, également, les parties à continuer à faire preuve de volonté politique et à travailler dans une atmosphère propice au dialogue afin d'entrer de bonne foi et sans conditions préalables, dans une phase de négociation plus intense, en prenant note des efforts consentis et des développements depuis 2006.
Dans une déclaration à la presse, suite à l'adoption de cette résolution, l'ambassadeur du Maroc à l'ONU, Mohamed Loulichki, s'est félicité de la "convergence de l'Assemblée générale et du Conseil de sécurité sur leur appui au processus de négociation initié par la présentation par le Maroc de sa proposition d'autonomie".
Par ailleurs, l’Union européenne (UE) a réaffirmé son soutien aux efforts déployés par le secrétaire général, et par son envoyé spécial, Christopher Ross, pour parvenir à une solution juste, durable et mutuellement acceptable.
Tout en se félicitant de l’engagement des parties à continuer de faire montre de la volonté politique nécessaire en vue d’une solution, l’UE reste concernée par les implications du conflit au Sahara sur la sécurité et la coopération dans la région, a indiqué la représente de Chypre qui s’exprimait au nom de l’UE. L’Union européenne encourage les parties à collaborer avec le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés en vue de renforcer les mesures de confiance. C’est ce qu’a fait savoir Mohamed Loulichki en déclarant que par cette résolution, l'Assemblée générale "reconnaît ipso facto la nécessité du recensement des populations des camps de Tindouf, conformément au Droit international humanitaire et à la pratique du Haut commissariat pour les réfugiés".
Il a ajouté, qu'en faisant siennes les résolutions du CS de l'ONU, l'Assemblée confirme la prééminence et l'adéquation de l'initiative d'autonomie à l'objectif recherché, à savoir une solution de compromis où personne ne sera perdant et tout le monde sera gagnant".
L'ambassadeur a, en outre, réitéré la "disponibilité du Maroc à oeuvrer sans relâche à la relance du processus de négociation sur des bases claires et saines systématiquement réaffirmées depuis cinq ans par le Conseil de sécurité".
A rappeler que le processus de négociations a été initié par la résolution 1754 (2007) et soutenu par les résolutions 1783 (2007), 1813 (2008), 1871 (2009), 1920 (2010), 1979 (2011) et 2044 (2012) du Conseil de sécurité de l'ONU, en vue de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable.
