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Abdelouahed Radi devant le Conseil national de l’USFP réuni à Bouznika : «Nous sommes décidés à faire de 2010 l’année de l’essor du Parti sur tous les plans»


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Lundi 7 Décembre 2009

Abdelouahed Radi devant le Conseil national de l’USFP réuni à Bouznika : «Nous sommes décidés à faire de 2010 l’année de l’essor du Parti sur tous les plans»
Voici la traduction du texte intégral du rapport politique présenté par Abdelouahed Radi, Premier secrétaire de l’USFP, lors
de l’ouverture
des travaux
de la deuxième
session du Conseil national tenue
à Bouznika.


Notre Conseil national se tient dans une conjoncture partisane et nationale qui nous impose à tous la responsabilité, le courage appropriés et la capacité de nous orienter vers l’avenir tel que cela a toujours été le cas pour le Parti des Forces populaires connu pour les sacrifices consentis, l’altruisme et pour un dévouement inébranlable pour l'intérêt suprême de la Nation en s’ouvrant toutes grandes les portes de l’espoir vers un lendemain meilleur.
Cette session intervient après le processus électoral qui a commencé par la consultation du 12 juin 2009 et qui s’est achevé par l’élection à la Chambre des conseillers.
Il sera indispensable de procéder à l’évaluation des résultats de ces échéances avec une précision dans l’analyse à même de permettre d’en tirer les leçons qui s’imposent. Non seulement pour mettre le doigt sur les failles et les lacunes, mais c’est surtout pour préparer les réponses appropriées, afin de consolider notre édifice démocratique, de défendre la crédibilité de nos institutions et son rôle dans l’édification d’un Maroc moderne.
Le Bureau politique veillera à présenter une première évaluation de ce processus électoral devant notre Conseil national avec objectivité et autocritique en vue d’aboutir à l’élaboration de toutes les réponses politiques et organisationnelles que nous serons tenus de donner à nos militants et à l’opinion publique nationale.
Cette session coïncide également avec la commémoration du cinquantième anniversaire de la création de l’Union nationale des forces populaires, ce qui doit servir d'occasion pour se représenter les principaux rôles assumés par notre Parti dans le militantisme pour le progrès, la liberté et la démocratie. Et c'est donc en toute logique qu'il a toujours été au cœur des évènements et des échéances ayant profondément marqué les changements connus par le pays sur la voie des principales réformes.
C'est là une autre occasion pour rappeler que l'USFP restera attaché de manière inéluctable à ses symboles et ses nobles valeurs et à ses martyrs et qu'il poursuit sa voie, avec les nouvelles générations de militants fidèles, pour la consolidation de la démocratie, la justice sociale et l'édification d'un Etat démocratique moderne garantissant aux femmes et aux hommes du Maroc une vie digne et une large participation à la gestion de la chose publique.
La tenue de cette session, enfin, coïncide avec la célébration de l'anniversaire de la Marche Verte qui avait servi de point de départ au parachèvement de notre intégrité territoriale. Le Souverain vient de confirmer à cette occasion l'attachement du Maroc à la proposition d'autonomie, sa ferme volonté d’instaurer une décentralisation élargie et l’application d’une stratégie de développement homogène et efficace.
Nous rappelons, une fois encore, notre dénonciation de ces visées de crise adoptées par les ennemis de notre intégrité territoriale. Nous nous adressons  notamment à nos frères  en Algérie pour qu’ils bannissent, à l'instar de la communauté internationale, ce procédé obsolète et sous-développé appelant au séparatisme et pour qu’ils privilégient les vertus du dialogue et de la solidarité indispensable pour l’édification du Grand Maghreb et qu’ils se doivent d’assimiler avec sagesse et humilité. Le Maroc qui a choisi, de son propre gré, d’associer tous ses enfants à l’édification du Maroc de demain, ne renoncera jamais à sa souveraineté, ni à son intégrité territoriale. Il œuvrera avec la détermination de toutes ses forces vives, pour réunir toutes les conditions devant faire éviter à notre région tout ce qui serait de nature à perturber sa stabilité ou la sécurité de nos peuples et tout ce qui pourrait leur faire rater l’opportunité de constituer une force économique capable de relever les défis de l’avenir.
Sur le plan social, l’étape actuelle se caractérise par une dynamique législative particulière pour encadrer l’action sociale et syndicale.
L’institutionnalisation du dialogue social qui doit être promu de manière à ce que sa méthodologie soit plus éfficace et plus rentable, en constitue l’un des aspects les plus en vue de cette dynamique.
Une année s’est écoulée depuis notre huitième Congrès. Il est de notre devoir de nous arrêter aux détails de cette expérience, pour débattre de ce que nous avons réalisé et de ce que nous n’avons pas pu réaliser avec responsabilité et en toute objectivité. Nous ne devons pas nous limiter aux résultats sur le seul plan quantitatif, mais il faut que nous tâchions de savoir si notre parti s’est ouvert une nouvelle page dans sa vie politique après le Congrès ou s'il n'est pas encore en mesure de réaliser les mutations nécessaires pouvant en faire, comme spécifié dans le slogan du Congrès, un parti qui évolue, un parti qui fait bouger la vie politique, à l'origine de nouvelles initiatives et de nouveaux projets.
Quelle que soit notre vision des choses un an après le Congrès, nous nous devons d'exprimer notre admiration et notre fierté, à l'égard de l'action sérieuse et continue à l'actif des militantes et militants ittihadis dans toutes les provinces et toutes les régions et dans un grand nombre de secteurs, pour que le Parti retrouve sa place et son rôle dans la société.
Notre huitième Congrès a mis l’accent sur l’importance absolue de s'orienter vers l'avenir, en insistant sur la nécessité de la réalisation des réformes politiques et constitutionnelles, en adhérant à des réformes qui ne sont pas de moindre importance et qui concernent notamment la justice, l'enseignement, l'administration et l'économie. Le Congrès a établi un lien étroit entre l'orientation vers cette perspective des réformes et la poursuite des efforts au sein du gouvernement. Nous avons accompli ce que nous avons considéré comme notre devoir envers le Congrès et son communiqué politique. C'est ainsi que nous avons élaboré un mémorandum avec des contenus réformateurs auxquels nous aspirons et nous l'avons présenté à Sa Majesté le Roi, tout en étant convaincus que ces réformes sont tributaires des initiatives Royales et du consensus national. Nous avons tenu également à faire de la Koutla  démocratique un point de départ et une source pour cette initiative, mais nous avons d'autre part fait preuve de compréhension à l'égard des positions de nos alliés. Tout en considérant que notre initiative qui reflète notre engagement lors du huitième Congrès, rencontrera sans aucun doute toutes les bonnes volontés afin de réaliser la réforme. Cette initiative présentée unilatéralement ne signifie aucunement la suspension du dialogue, la coordination et l'action commune pour atteindre l'objectif escompté. Nous avons tenu à créer des conditions  à même de construire le pôle socialiste de la grande gauche. Nous estimons que la question nécessite un débat profond autour des  objectifs, des moyens sur l'action commune et l'expérience de la gauche en général dans ses réussites et ses échecs. Nous voulons réaliser cette édification par le biais d'un dialogue national courageux et d'une action efficiente sur le terrain aux niveaux parlementaire, syndical et associatif et non sur la base de quelques accords formels. Ce qui est certain, c'est qu'un grand travail nous attend dans ce cadre afin de réaliser les revendications des bases partisanes socialistes dans toutes les expressions de la gauche. Il était impératif après le congrès de se consacrer aux batailles électorales pour que le Parti retrouve sa position et son rôle dans la vie politique nationale. Dans ce sens, nous étions tenus de renouveler nos méthodes de travail en privilégiant l'organisation partisane dans les régions pour mettre en relief les choix du Parti tant sur le plan des listes électorales que sur celui des programmes locaux, ainsi que les alliances après les résultats. En dépit des efforts déployés par les militants et les militantes dans des conditions difficiles à travers tout le pays pour que l'USFP ait une présence honorable, il faut reconnaître qu'il existe des dysfonctionnements au niveau du Parti qui étaient souvent la cause de nos résultats limités aux élections. Nous devons affronter cette situation avec fermeté à travers les évaluations globales des opérations électorales qu'il faut présenter au Conseil national. Il est de notre devoir aussi de reconnaître que le dernier processus électoral a été faussé,  faisant fi de la volonté populaire par l'utilisation de l'argent sale, l'intervention de certaines administration territoriales et la reproduction des phénomènes qu'on croyait révolus. Notre Parti considère que ces méthodes constituent un véritable danger pour l'avenir démocratique au Maroc, car  elles portent atteinte à la crédibilité de l'action politique et celle des institutions, véhiculant le désespoir et la frustration parmi les citoyens. Pour faire face à cette situation, une compréhension de l'étape et une vision sur l'avenir s'avèrent nécessaires. Ainsi plusieurs questions s'imposent :




Que devons-nous faire pour le renforcer et l'élargir? Que doit-on combattre? Quels sont ces dysfonctionnements? Quels sont les voies et les moyens rationnels pour affronter cette situation? Quelles sont les positions que notre Parti national et progressiste doit adopter pour défendre la démocratie et la stabilité dans notre pays?
 Notre huitième Congrès a mis l'accent sur les facteurs qui handicapent la transition démocratique. Nous espérions une modernisation du pays depuis l'avènement de l'expérience de l'alternance consensuelle. Cependant, nous avons constaté que les  objectifs escomptés n'ont pas été atteints. Et malgré les efforts consentis aux niveaux économique, financier et social, mais également sur le plan institutionnel qui a inauguré des réformes essentielles dans notre pays et le processus de modernisation. Les forces conservatrices s'emploient à reproduire des procédés qui entravent le développement de l'action politique et institutionnelle dans notre pays.
La crise que nous vivons aujourd'hui résulte de l'échec du processus de  modernisation, lequel processus devait développer le champ politique, consolider l'action démocratique et instaurer un climat de confiance et de transparence dans la vie publique.
C'est une crise des mœurs politiques qui touche tous les acteurs politiques, concerne l'Etat à travers ses interventions et son administration qui n'a pas assimilé et les mutations qu'a connues le Maroc et la nécessité de la neutralité politique pour l'édification de toute démocratie moderne.
Cette crise concerne également les groupes intermédiaires, notamment les associations, les médias et les partis politiques dont le nôtre  et qui subissent ses répercussions, créant anisi une crise dans la crise.
Ceci se répercute sur notre société, en termes de déclin des valeurs politiques, morales, de comportement et d'absence de références. Il existe un groupe restreint qui adopte les valeurs universelles, mais  un autre plus influent opte pour les références de l'argent et du pouvoir et de larges franges qui ne parviennent pas à se positioner sur cette carte confuse.
Cette crise  s'est accentuée au sein de la société et s'est nourrie des politiques poursuivies et de faux enjeux, à tel point qu'elle s'est implantée en disposant de forces de frappe, de comportements, de techniques, de réseaux et a pris la société en otage non seulement lors des élections électorales, mais dans toute la vie publique.
Cette crise a eu de graves conséquences sur la transition politique, car la démocratie représentative est basée sur la confiance en les institutions élues dont la légitimité repose sur cette confiance. Mais ces mœurs politiques que l'on a fait enraciner dans la société ont été la cause de  l'anéantissement de cette confiance et de l'incrédibilité de la politique et du sérieux des institutions élues.
Les objectifs, les moyens et les comportements encadrant la vie démocratique ne sont plus respectés. Le but principal pour la majorité des groupes n'est autre que la présence numérique dans ces institutions élues, par tous les moyens, en vue d'occuper les premiers postes. De même pour les personnes qui ne visent que l'ascension sociale,  l'objectif principal, dans un environnement de pauvreté, d'analphabétisme et des limites de la politisation, c'est de profiter de l'occasion en vue d'obtenir le maximum de profits.
Cette situation explique la méfiance de la société à l'égard de la politique et des politiciens. La concurrence loyale et intègre en toute démocratie réelle doit se faire entre des projets sociétaux, des conceptions d'avenir, des programmes, des hautes compétences, entre hommes et femmes. Mais de nos jours, cette concurrence a lieu en grande partie entre des catégories particulières de marchands des élections qui ont envahi le champ politique et serré l'étau autour des militants intègres qui considèrent l'action politique,  comme une valeur noble, œuvrant pour l'intérêt suprême de la Nation.
Le plus grave, c'est que l'une des missions principales des  partis consistant à produire des élites sur la base de la compétence, du mérite, de l'efficacité, des choix, des idées et des valeurs,  a été dévalorisée par des groupes au profit de réseaux à l'origine de pseudo-élites entraînant le pays vers la régression et creusant l'écart entre la société et l'Etat.
La première victime de cette situation, ce sont les forces de gauche, car toutes ces mœurs sont en contradiction avec leurs valeurs et leurs pratiques. Ce qui a donné lieu au recul de ces forces et à des résultats limités lors des élections.
La gravité de la crise nécessite donc un traitement courageux et clair, et ce à travers des réformes profondes demandant un effort continu, des sacrifices et de l'abnégation.
Il n'y a point de solution magique, mais le processus de pratiques fallacieuses a conduit à aggraver cette crise qui ne peut être éradiquée que par le biais d'une politique de réformes de longue haleine, s'accordant le temps et la patience nécessaires avant d'aboutir à des résultats ne tolérant aucunement des réformes partielles.
Au sein de l'USFP, nous ne sommes ni pessimistes ni désespérés ; nous savons que le travail sera ardu, mais nous sommes décidés  à y  contribuer avec ce sentiment de patriotisme qui a été toujours le nôtre, tout en restant attachés à l'avenir démocratique de notre pays.
Nous sommes confiants quant à la nécessité d'entrer de plain-pied et sans hésitation,  le plus vite possible, dans une dynamique claire de réformes  portant notamment sur les lois électorales, le mode de scrutin et la loi sur les partis.
Ces réformes doivent  donner la priorité au scrutin direct, se passer graduellement du scrutin direct, faire front contre le nomadisme politique et contre la fabrication fallacieuse de cartes politiques qui ne représentent pas le poids réel des forces en présence, lutter contre les prévaricateurs, ouvrir la voie aux jeunes générations de militants, donner de l'espoir et combattre le nihilisme et le fatalisme par l'action positive et la participation active. Tout cela nécessite, plus qu'auparavant, que nous soyons dans les centres de décision malgré leur caractère restreint et leurs limites et que nous œuvrions via cette position à la programmation de ces réformes par une participation directe à leur élaboration, à leur orientation dans le sens voulu, à la célérité de leur réalisation et que nous en fassions un nouveau contrat avec les citoyens. Nous préparerons grâce à ce dernier les échéances de 2012 dans un climat de crédibilité, d'honnêteté et d'optimisme.
Ce choix  est cohérent avec  les décisions de notre huitième Congrès national et avec notre volonté de participer à tous les chantiers de réforme ouverts aujourd'hui dans la justice, la régionalisation, le Conseil économique et social, le nouveau pacte social et les grands chantiers économiques ainsi qu'au fait que nous devons assumer pleinement notre devoir en matière de défense de notre intégrité territoriale et dans la mise en application des contenus des discours Royaux prononcés à l'occasion de la Fête du Trône, de l'anniversaire de la Révolution du Roi et du Peuple, de l'ouverture de la présente année législative et de l'anniversaire de la Marche Verte. Autant de discours qui ont établi la carte des réformes nécessaires pour notre pays et lancé, depuis l'été dernier, une nouvelle dynamique dans ce sens.
Le devoir national nous impose d'affronter ces problèmes, d'autant plus que nous n'avons jamais prôné une politique du pire et que nous n'avons jamais ménagé le moindre effort pour défendre l'intérêt suprême de la Nation puisque nous mettons la stabilité de notre pays et la force de l'Etat au-dessus de toutes les autres considérations. Nous sommes également convaincus, dans le cadre de cette même conception, que ceux qui essaient d'affaiblir la gauche et les forces nationales démocratiques en général attentent à la stabilité de notre pays et à sa capacité de relever les défis intérieurs et extérieurs auxquels il est confronté.
Les militants de notre parti ont fait ce qu'ils devaient faire lors de leur dernier Congrès. Ils ont débattu avec une grande clairvoyance de la situation du Maroc et de ses perspectives en matière politique. Ils ont élu d'une manière démocratique dont nous nous enorgueillons, toutes leurs directions nationales et publié un communiqué clair tant dans sa forme que dans son contenu.
C'est un moment historique que nous devons considérer comme la réponse politique la plus forte à tous ceux qui ont fait des élections de 2007 une étape de régression et de suspicion. Nous sommes décidés à nous remémorer ce moment fort à toutes les étapes de notre prochaine action.
Nous sommes également décidés,  au Bureau politique, à faire de 2010, l'année de l'essor du parti sur tous les plans. Après le parachèvement de la constitution des commissions issues du Conseil national et dont nous parions qu'elles feront de celui-ci un espace d'analyse, de contrôle, de proposition et de participation active, nous œuvrerons avec vous tous à la tenue de la Rencontre nationale sur l'organisation. Nous comptons à travers cette rencontre moderniser les mécanismes de l'action partisane et conforter ses structures locales, régionales et nationales. Nous œuvrerons aussi à mobiliser toutes nos forces partisanes pour suivre les chantiers de réforme, à les évaluer, à présenter des propositions les concernant, à mettre à jour nos programmes économiques et sociaux, à préciser nos politiques en matière de lutte contre les disparités et la pauvreté et à garantir une vie décente aux masses populaires.
Tout cela nous impose d'initier un programme précis pour la période qui nous sépare des élections de 2012 afin de réaliser des acquis palpables et d'établir un large dialogue avec toutes les forces vives de notre pays autour des réformes constitutionnelles et politiques.
Notre objectif aujourd'hui est de faire rayonner à travers notre pays une vision politique optimiste au lieu de l'entraîner  dans la démission et le pessimisme. Nous n'y arriverons que si nous ouvrons le chemin, de nouveau, à une modernisation tous azimuts de notre pays pour le mettre sur la voie de la transition démocratique et pour mettre un terme aux tares qui rendent notre société otage de la concussion et des prévaricateurs.
Afin que notre participation soit efficiente et qu'elle puisse avoir l'impact qui se doit, nous devons élargir la base de notre parti, préparer des structures d'accueil de militants nouveaux, faire des propositions attirantes, tenir un discours optimiste à travers lequel nous insufflerons un espoir renouvelé chez les citoyens et ferons renaître chez eux les traditions de ce militantisme honnête sans lequel nul acquis actuel n'aurait été possible.
Nous devons édifier une force crédible, confiante, sereine, qui sait ce qu'elle doit faire pour s'orienter vers l'avenir.
Telle est notre volonté. Telle est la volonté de tous les Usfpéistes qui croient que leur parti n'est pas seulement une adresse politique, mais un devoir historique constructif avec son passé, son présent et son prolongement dans l'avenir. 


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