-
Abdellatif Jouahri : La réforme du régime de change vise à renforcer la résilience de l’économie nationale
-
Le réseau RAM se renforce avec quatre nouvelles destinations
-
L'ONMT et China Eastern Airlines s'allient pour la promotion du Maroc en Chine
-
Industries manufacturières : Baisse de l'indice des prix à la production de 0,1% en mai
-
Emprunt obligataire d'Al Omrane du 2 juillet 2020 : Révision du taux d'intérêt facial de la tranche "A"

"Notre point de départ est que nous devons aller de l'avant par le programme existant et que ses conditions soient respectées", a déclaré à la presse M. Rinne, qui a participé lundi à Bruxelles à une réunion des ministres des Finances de l'Union européenne (UE).
Selon lui, les pays de la zone euro disposent de 11 jours pour trouver une solution sur la base du plan de soutien financier actuel. "Actuellement, il n'y a aucune information sur un progrès réalisé dans les discussions entre l'UE et le nouveau gouvernement à Athènes", a-t-il dit.
La Grèce a refusé lundi la proposition soumise par l'Eurogroupe, qui prévoyait une prolongation technique de six mois du programme d'aide actuel, conditionné par des réformes dont certaines sont refusées par le nouveau gouvernement grec.
De son côté, la zone euro a donné une semaine à la Grèce pour demander comme elle l'exige une extension de son programme d'aide financière.
Accordé par la troïka (Banque centrale européenne, Fonds monétaire international et Union européenne), le plan d'aide arrive à échéance à la fin février.
Le nouveau gouvernement grec, formé après la victoire électorale du parti de gauche radicale Syriza, appelle à une renégociation des conditions du plan d'aide au pays.
Auparavant, le Premier ministre finlandais Alexander Stubb avait affirmé que son pays ne pourrait pas accepter une restructuration ou annulation de ses titres grecs, se disant disposé à une extension de la période de remboursement des prêts.
La Finlande, qui a développé une réputation de positions dures et exigeantes sur les plans de sauvetage pour les économies de la zone euro en difficulté, a été le seul Etat de la zone euro à demander et obtenir des garanties collatérales pour participer au renflouement de la Grèce et de l'Espagne.