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Les Gunners viennent de chuter du podium alors qu'ils étaient co-leaders avant le week-end tandis que les Blues végètent toujours à la 14e place après un succès qui a mis fin à trois défaites consécutives.
En C1, c'est même encore pire pour les Londoniens du nord, 3e du groupe F avec trois points et trois défaites en quatre matches.
Alors que Wenger et son équipe disputent leur 18e campagne d'affilée, ils n'ont jamais semblé aussi proche d'une élimination aussi prématurée après 15 qualifications successives en 8e.
Ce qui, même si le club n'a pas atteint le Top 8 européen depuis cinq ans, fait grincer alors qu'il retrouve peu à peu la plénitude économique.
Arsenal, qui n'a gagné que six de ses 13 derniers matches de C1 à l'Emirates, n'a donc plus son destin entre les mains. Il le retrouvera pour la dernière journée s'il gagne, et que l'Olympiakos s'incline contre le Bayern. Dans ce cas, il faudra encore aller arracher la qualification chez les Grecs.
Bizarrement, Chelsea surnage pour sa part au niveau continental, avec 7 points et la 2e place du groupe G avant un déplacement à Tel-Aviv qui inquiète surtout pour des raisons de sécurité extra-sportive. Chelsea se qualifiera en cas de victoire et si le Dynamo Kiev ne bat pas Porto.
C'est là que les deux hommes aux personnalités fondamentalement différentes se distinguent encore. Alors qu'il est guetté par une élimination historique, l'Alsacien arrive à tirer son épingle du jeu. Son côté réfléchi et son long passé de reconstructeur du club plaident en sa faveur et lui évitent d'affronter des turbulences plus dommageables.
A l'inverse, Mourinho ne cesse de gesticuler et de s'agiter alors qu'il s'enfonce. Même si ses bons mots dénotent un certain panache, ses attaques tous azimuts semblent avoir lassé. Peut-être même en interne.
"Mourinho est un grand entraîneur, mais il crame ses joueurs en 18 mois, a récemment déclaré Fabio Capello. J'avais déjà entendu ça au Real, on en a la confirmation à Londres".
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