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La main criminelle qui, en ce 18 décembre 1975, a osé attenter à la vie d’Omar, de même que l’idéologie obscure qui avait commandité l’odieux crime ne pouvaient, ni ne peuvent nourrir la triste prétention d’avoir atteint leur ignoble objectif. Omar est, et sera, présent à jamais parmi nous. Omar vit et vivra en chacun de nous. Son legs est si précieux, immortel et éternel qu’il est au-dessus de toute tentative d’assassinat physique ou de quelque nature que ce soit. On ne peut étouffer, on ne peut tuer la mémoire collective. Et Omar s’y est adjugé une place de choix.
L’acte lâche perpétré, il y a de cela trente-sept ans, ne pouvait pas ne pas être qualifié d’«assassinat politique ». Et comme l’a rappelé son camarade et compagnon de lutte, Mohamed Elyazghi, à travers l’homme, c’était «son rayonnement, son large savoir et sa pensée» que l’on visait. On a bêtement cherché à ébranler l’USFP en le touchant à l’un de ses piliers les plus solides. Peine perdue, l’USFP d’Omar Benjelloun est toujours sur pied, défendant les mêmes idéaux et œuvrant avec force et détermination pour que ce Maroc rêvé par l’Ittihad et les Ittihadis prenne forme et pour aller bien au-delà de toutes avancées réussies grâce aux inestimables sacrifices consentis par Omar et ses compagnons de lutte.
Lâche, ignoble, exécrable et vain aura été cet acte du 18 décembre 1975. Il faisait d’ailleurs suite à toute une série d’exactions et autres viles tentatives.
Mais tout cela n’était pas pour impressionner ou dissuader Omar Benjelloun, le militant dans sa vie professionnelle et dans sa vie de tous les jours.
L’acte lâche perpétré, il y a de cela trente-sept ans, ne pouvait pas ne pas être qualifié d’«assassinat politique ». Et comme l’a rappelé son camarade et compagnon de lutte, Mohamed Elyazghi, à travers l’homme, c’était «son rayonnement, son large savoir et sa pensée» que l’on visait. On a bêtement cherché à ébranler l’USFP en le touchant à l’un de ses piliers les plus solides. Peine perdue, l’USFP d’Omar Benjelloun est toujours sur pied, défendant les mêmes idéaux et œuvrant avec force et détermination pour que ce Maroc rêvé par l’Ittihad et les Ittihadis prenne forme et pour aller bien au-delà de toutes avancées réussies grâce aux inestimables sacrifices consentis par Omar et ses compagnons de lutte.
Lâche, ignoble, exécrable et vain aura été cet acte du 18 décembre 1975. Il faisait d’ailleurs suite à toute une série d’exactions et autres viles tentatives.
Mais tout cela n’était pas pour impressionner ou dissuader Omar Benjelloun, le militant dans sa vie professionnelle et dans sa vie de tous les jours.