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Mise en avant à Tanger des efforts du Maroc en matière de lutte contre les crimes de blanchiment de capitaux
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Signature d'un accord d'exemption de visa pour les passeports ordinaires entre le Maroc et l'Azerbaïdjan
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Série d'entretiens de Nasser Bourita en marge du 15ème sommet islamique
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Ouverture de l'ambassade du Royaume du Maroc en Gambie
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Le Souverain réitère avec insistance la demande d’un arrêt immédiat, durable et global de l’agression contre Gaza
Les quatre auraient eu un rapport quelconque à un niveau plus ou moins important avec la disparition du plus célèbre opposant marocain.
Plus de quatre décennies, plus l’assassinat de Mehdi Ben Barka continue à défrayer la chronique.
La vérité sur un acte aussi lâche et aussi abject, voulue par sa petite et sa grande familles et par tout un pays soucieux de se réconcilier, pour de bon, avec son passé, se fait toujours attendre, mais ne serait manifestement pas pour arranger tout le monde.
Bachir Ben Barka, le fils de Mehdi, avait laissé entendre que l’éventuelle arrestation des personnes précitées ne l’intéressaient pas plus que leur nécessaire contribution pour que cette Vérité soit enfin connue.
Le revirement ou « la volte-face », de la justice française, on s’en doute n’a pas été pour lui plaire. Il ne s’en est pas caché dans une déclaration à l’AFP. Pour lui, il s’agit d’«une mascarade ». Il dit ne pas comprendre qu’«un même ministère se déjuge en 24 heures, c’est une manifestation flagrante et cynique de la raison d’Etat ».
Béchir Ben Barka va même jusqu’à se poser la question quant au rôle de l’Elysée dans ce brusque changement de position. «On ne sait pas ce que cache ce revirement, poursuit-il. La ministre de la Justice a-t-elle été déjugée par l’Elysée ? Y a-t-il une volonté de ne pas chercher la vérité ? Si c’est le cas, cela doit être dit ».
Pour rappel, ces mandats d’arrêt avaient été signés par le juge Patrick Ramaël le 22 octobre 2007, alors que le Président Sarkozy effectuait une visite officielle au Maroc. Deux ans plus tard, les mêmes mandats ont été lancés par Interpol, mais sans le nom de Boubker Hassouni initialement cité.