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5000 Marocains du Royaume, Marocains du monde et citoyens de toutes nationalités ont répondu à l’appel du noyau d’initiateurs de la lettre ouverte demandant que soit mis un coup d’arrêt aux publications et commentaires faisant l’apologie d'actes terroristes et d'incitation au terrorisme, notamment sur les réseaux sociaux.
Après les posts faisant l'éloge de Mevlut Mert Altintas, l’assassin de l'ambassadeur russe Andereï Karlovb le 19 décembre à Ankara, la tuerie de la discothèque Reina à Istanbul a été à nouveau l’occasion d’un déferlement de propos haineux, racistes, sexistes allant jusqu’à justifier la mort de jeunes Marocaines par leur simple présence dans ce lieu.
Les auteurs et les signataires de cette lettre ouverte rappellent que l’apologie d’actes terroristes constitue un crime puni par la loi, conformément à l’article 218-2 du Code pénal et demandent fermement que la loi soit appliquée avec sévérité !
Outre cette revendication, les signataires demandent au CNDH de créer une commission - réunissant tous les acteurs concernés - afin de veiller à ce que l’apologie du terrorisme, où qu’elle se manifeste, soit sanctionnée - et de mettre sur pied une politique prioritaire de prévention et d’éducation (écoles, maisons de jeunes, médias, tissu associatif, réseaux sociaux, mosquées...).
Un point de presse sera tenu, sur place, au sortir de la rencontre avec le président du CNDH.










