
-
Driss Lachguar : Passerelle importante vers l’Afrique, la ville d’Agadir requiert un intérêt considérable
-
Le délai raisonnable pour statuer sur les affaires, un engagement constitutionnel en faveur des droits des justiciables
-
Mustafa El Ktiri : La récupération de Sidi Ifni, une étape majeure dans le processus de parachèvement de l’indépendance nationale
-
Débats entre experts dans la perspective de la tenue du 12ème Congrès de l’USFP
Le choix de l'ex-garde des Seaux n'est pas fortuit, du fait qu'il est justifié doublement. D'une part, si Rachida Dati a été retenue, c'est qu'elle est considérée comme une « icône de la diversité » en Hexagone. Elle est d'ailleurs la première personnalité d'origine maghrébine (marocaine) à avoir atteint les hautes sphères de la politique française. D'autre part, son entrée est conditionnée par trois critères, à savoir « une popularité certaine, une visibilité médiatique incontestable et une place incontournable dans le paysage politique français ». Sachant que d'après Lepoint.fr, l'ex-ministre de la Justice est « arrivée en cinquième position cette année au sein des statues de cire, parmi les 300 figures exposées ».
Se trouvant face à face à sa statue de cire, trônant à côté de celle de Simone Veil, Rachida Dati a fait savoir que « c'est une sensation très curieuse de se voir en trois dimensions. C'est une partie de ma vie qui se consacre ce soir".
La statue de cire de Rachida Dati est l'œuvre du sculpteur Clause Velt. Celui-ci s'est attelé à cette tâche artistique, ne négligeant aucun détail afin que la copie soit identique à la personne. Un travail qui a nécessité pas moins de six mois et un coût de 25.000 euros avant de boucler en beauté un ouvrage, rehaussé par l'intervention de plusieurs artistes.