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Un mandat plus tard, les Etats-Unis se sont désenvasés du bourbier irakien, se désempêtrent petit-à-petit de celui d’Afghanistan et s’efforcent de tout leur soûl d’effacer les caprices guerriers et dévastateurs de G.W. Bush en optant pour une politique de paix et en se consacrant à plus urgent, à la gestion de cette crise économique laissée pour legs.
Le cadeau empoisonné, Barack Obama a su le surmonter avec élégance et en guise de récompense et in extremis le taux de chômage chez l’Oncle Sam est passé à 7,8% lui permettant ainsi et aux ultimes moments de la campagne électorale de se rallier les voix des derniers indécis par lesquelles aujourd’hui, il rempile.
Mais là, n’est pas son seul fait d’armes. A son crédit, une politique sociale comme jamais auparavant aux USA, la réforme du système de santé que lui ont disputée jusqu’au bout les Républicains et validée sur le fil en juin dernier par la Cour suprême des Etats-Unis. Ce sont quelque trente millions d’Américains qui vont pouvoir bénéficier d’une couverture maladie, soit un peu plus de 10% de la population américaine.
Mérité donc le prix de la paix même si reçu par anticipation.







