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Pour exprimer leur colère, les manifestants ont scandé des slogans dénonçant les pratiques du nouvel opérateur français et de la Wilaya. Pire encore, plusieurs protestations ont menacé de s'immoler par le feu et d'interdire la circulation des rares autobus dans les villes concernées, au cas où ils ne seraient pas embauchés et indemnisés pour ces jours de chômage coïncidant avec la fête d'El Aïd.
Par ailleurs, Brahim Bouziki, représentant syndical (FDT), a indiqué à notre journal que les négociations avec la Wilaya n'aboutissent toujours à rien. Il a ajouté que le directeur de Véolia a souligné qu'il ne peut pas « résoudre le problème du chômage des Marocains » !
Le même jour à 17h30, devant l'arrêt des autobus de Bab El Had, la Coordination nationale de lutte contre la hausse des prix et la détérioration des services publics a organisé une manifestation pour dénoncer la crise du transport que connaissent les villes concernées. Une deuxième intervention musclée a eu lieu. Et aussitôt, des dizaines d'autobus vides sont venus dans la ville pour transporter les gens qui attendent à Bab El Had de peur qu'ils ne se joignent au sit-in.







