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Dans une seconde étape, il est prévu l’extension de l’opération au reste du personnel de la santé en raison de son contact avec les malades et le risque encouru dans l’exercice de la profession. Il en serait de même pour toute personne susceptible d’infester un lieu ou de contaminer une personne. Entrent dans cette catégorie, selon la même source, les fonctionnaires du ministère de l’Intérieur, les enseignants et le personnel du département de la Jeunesse et des Sports. Ce sont des personnes qui souvent en contact avec un grand public et que l’on pourrait mobiliser en cas d’épidémie et contribuer ainsi à une éventuelle lutte contre le virus.
Cependant la circulaire du département de Yasmina Badou ne répond pas à un souci majeur qui se pose actuellement en France et dans d’autres pays où la campagne de vaccination a déjà commencé : celui de la liberté de vaccination ou non. Un débat survenu suite à la mise en doute de certains à propos de l’existence et de la provenance du virus. Certains dénoncent une manipulation des grands laboratoires et même la complicité de l’OMS. Cette dernière avait dressé une liste de bénéficiaires assez différente de celle de notre ministère puisque ce sont les femmes enceintes, les enfants, les personnes âgées et souffrant de maladies chroniques et le personnel de santé qui auront la priorité. Le vaccin annoncé par le département de Madame Badou pour le début d’octobre sera mis en place à la fin du mois. Ce report devrait être lié à la disponibilité du vaccin.