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L'armée tunisienne a saisi mercredi des armes et des documents portant l'emblème du groupe djihadiste Etat islamique (EI) à bord de deux voitures près de la frontière libyenne, ont annoncé jeudi les autorités. "Les militaires ont saisi 10 kalachnikovs, des grenades RPG, des explosifs, des cartes de téléphone libyennes et des documents", a dit à Reuters un fonctionnaire du ministère de l'Intérieur. Quant aux deux véhicules, qui avaient été transformés en voitures piégées, ils ont été détruits, a-t-il précisé. En septembre, les autorités tunisiennes ont averti d'un risque d'attentats à la voiture piégée dans la capitale Tunis et interdit la circulation dans certaines zones. Les autorités tunisiennes ont entrepris en juillet d'ériger un mur le long de la frontière avec la Libye, pour empêcher l'entrée sur le territoire national d'islamistes, qui s'entraînent dans des camps en Libye, où l'EI a réussi à s'implanter à la faveur du chaos régnant dans ce pays.
France
Des dizaines de pays représentés à l'Onu ont signé mercredi l'appel lancé par Paris en direction des autres membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies afin qu'ils renoncent à exercer leur droit de veto en cas de massacre de masse.
75 pays d'Europe, d'Afrique, d'Amérique latine et d'Asie ont soutenu la proposition française, et selon des responsables français, d'autres nations devraient les rejoindre.
Le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a dit espérer davantage d'engagements afin que le Conseil de sécurité cesse d'être paralysé lorsque des massacres de masse sont commis, comme en Syrie.
Aucun des quatre autres membres permanents des Nations unies, Etats-Unis, Chine, Grande-Bretagne et Russie n'ont signé l'appel français. 193 pays sont membres des Nations unies.