-
Faux mariage à 102 ans pour prouver qu 'il est vivant
-
De la joie à l'ouverture du premier cinéma pour personnes autistes au Venezuela
-
Au Pakistan sous les inondations, personne ne sait plus où est son village
-
Des fleurs pour l'anniversaire de Janus la plus vieille tortue à deux têtes
-
Les inondations au Pakistan emportent dots et projets de mariage
Quelque 19% des 5.500 parents questionnés pour cette enquête disent rêver de la carrière de médecin pour leur enfant, 11% privilégient la carrière d'ingénieur et 8% celle d'informaticien. C'est aux Emirats Arabes Unis (33%), suivis de l'Indonésie (31%) et de la Turquie (27%) que la profession de médecin est le plus prisée des parents.
Deux-tiers d'entre eux (64%) citent "être heureux" comme un de leurs trois principaux souhaits pour leurs enfants devenus adultes, selon cette étude. Un souhait pour lequel les parents français arrivent en tête (86%), suivis des Canadiens (78%), des Britanniques et des Australiens (77%) et des Américains (72%).
Dans plusieurs pays, "mener une vie saine" arrive avant le bonheur. Ainsi, en Chine, 72% souhaitent que leurs enfants, devenus adultes, aient une vie saine, et 63% seulement qu'ils soient "heureux dans la vie". "Mener une vie saine" n'est en revanche citée que par 21% des parents français, contre un tiers pour les parents canadiens, australiens ou américains.
"Gagner suffisamment pour avoir une vie agréable" est citée d'abord par les parents français (60%), puis Hong Kong, mais dans une bien moindre proportion (43%), rapporte l’AFP.
Les parents mexicains (52%) et indiens (51%) veulent surtout que leurs enfants "réussissent leur carrière". Un objectif souvent cité par les parents des pays émergents, mais moins fréquemment par les parents de pays riches, qui préfèrent que leur enfant "réalise son potentiel". La moitié des parents britanniques cite ce dernier souhait dans leur tiercé de tête, 45% des canadiens, 40% des australiens et des américains, 37% des singapouriens.
Enfin, si près de neuf parents sur dix en Inde estiment "nécessaires" des études longues, quatre sur cinq aux Emirats arabes Unis et deux-tiers au Mexique, en Indonésie et en Malaisie, cette proportion est bien moindre en Australie et en Grande-Bretagne (14%) et au Canada (24%).
Dans ces pays-là, beaucoup de parents pensent que la formation professionnelle permettra à leur enfant de réaliser ses ambitions (38% au Canada, 33% en Grande-Bretagne, un quart en Australie, France et Etats-Unis).