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Une étude américaine révèle que les adolescents deviennent de moins en moins influençables au fur et à mesure que se développe leur cortex préfrontal.
Une étude qui vient d'être publiée dans la revue Neuron met en évidence le lien qu'il y a entre le fait d'être influençable et le développement du striatum, une partie du cerveau située dans le cortex préfrontal, rapporte le Telegraph.
Si la majeure partie des "gens pensent que l'adolescence est la période à laquelle les jeunes sont particulièrement influençables", comme l'indique Jennifer Pfeifer, professeur de psychologie à l'Université de l'Oregon aux Etats-Unis, "c'est le cas, mais c'est aussi à cette période qu'ils ont développé la capacité d'y résister". Cette capacité va de pair développement du cerveau. Les scanners réalisés sur les cerveaux de jeunes âgés de 10 à 13 ans alors qu'ils étaient soumis à des photos de visages exprimant diverses émotions (colère, peur, joie ou tristesse), ont montré l'activité du cortex préfrontal. Mais l'étude a également pu repérer que l'amygdale, une structure cérébrale plus profonde, était également particulièrement sollicitée face à des visages tristes.
Une étude qui vient d'être publiée dans la revue Neuron met en évidence le lien qu'il y a entre le fait d'être influençable et le développement du striatum, une partie du cerveau située dans le cortex préfrontal, rapporte le Telegraph.
Si la majeure partie des "gens pensent que l'adolescence est la période à laquelle les jeunes sont particulièrement influençables", comme l'indique Jennifer Pfeifer, professeur de psychologie à l'Université de l'Oregon aux Etats-Unis, "c'est le cas, mais c'est aussi à cette période qu'ils ont développé la capacité d'y résister". Cette capacité va de pair développement du cerveau. Les scanners réalisés sur les cerveaux de jeunes âgés de 10 à 13 ans alors qu'ils étaient soumis à des photos de visages exprimant diverses émotions (colère, peur, joie ou tristesse), ont montré l'activité du cortex préfrontal. Mais l'étude a également pu repérer que l'amygdale, une structure cérébrale plus profonde, était également particulièrement sollicitée face à des visages tristes.