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Cette “proposition réaliste et raisonnable nous semble la seule dynamique nouvelle et positive offrant les meilleures perspectives pour une solution politique, définitive et mutuellement acceptable de la question du Sahara”, a-t-il ajouté.
Le Sénégal “estime qu'il est impératif de décourager toutes formes de séparatisme ou de désintégration du tissu social de cette région du Maghreb: un mal qui menace hélas, ici et là, la stabilité de différentes régions du monde”, a poursuivi le diplomate, réaffirmant “le soutien constant” de son pays aux efforts du Secrétaire Général de l'ONU ainsi qu'à son Envoyé personnel en vue d'un règlement juste et durable de ce conflit. En outre, “le Sénégal souhaite que ces démarches s'inscrivent dans le prolongement des quatre cycles de négociations tenus l'an dernier, à Manhasset, sous les auspices de M. Peter Van Walsum, alors Envoyé personnel du Secrétaire général des Nations Unies, et favorisent un cinquième cycle de pourparlers directs pour un règlement politique mutuellement acceptable du dossier du Sahara”. Le diplomate a, toutefois, estimé “indispensable que les parties fassent preuve de réalisme et d'un esprit de compromis nécessaires pour, d'une part, maintenir l'élan que le Secrétaire général a imprimé aux négociations et, d'autre part, poursuivre celles-ci de bonne foi, en tenant compte des efforts réalisés depuis 2006 et des faits nouveaux survenus depuis, en vue de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable dans le contexte d'arrangements conformes aux buts et principes de la Charte des Nations Unies”.