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Le football marocain brillera donc par son absence en février prochain pour la première édition de ce championnat des nations réservée aux joueurs locaux. Il l'aura bel et bien cherché. La logique a été respectée pour ainsi dire. A quoi pouvait-on aspirer avec tout ce temps perdu ? Quand on se cherchait pendant de longs mois, quand on s'amusait à annoncer le nom de quelque hypothétique entraîneur pour «le remplacer» au fil des semaines par un autre. On a fini par se décider à quelques jours du match aller contre cette même Libye. Et Blinda est arrivé ! On dirait qu'il est sorti de sa trop longue retraite rien que pour servir de bouc émissaire. Qu'est-ce qu'on ne va pas dire ou écrire sur le vieux Abdallah, maintenant que l'élimination est consommée !
Mais s'il y a quelque chose que l'on pourrait reprocher à ce technicien qui a roulé sa bosse soit en tant que joueur de foot ou de hand ou en tant qu'entraîneur, c'est qu'il a accepté de débarquer comme ça, sans un contrat en bonne et due forme avant qu'il ne soit surpris par le salaire de misère qu'on lui a affligé. Le fait est là, il a échoué dans cette mission quasi-impossible qu'il s'est aventuré à assumer.
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