Autres articles
-
Une ville japonaise veut limiter à deux heures l'utilisation des smartphones
-
En Tunisie, une "révolution des boucles" contre les diktats de beauté
-
Et si l'IA rendait les médecins moins bons ?
-
Trump, Zelensky et la diplomatie vestimentaire
-
Des scientifiques découvrent un taux important de changement de sexe chez certains oiseaux
Le gendarme du Net a accepté d'autoriser l'usage de caractères non latins dans les adresses de site web.
L'Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN), qui a validé cette mini-révolution de l'adressage lors d'une réunion à Séoul, en Corée du Sud, a indiqué dans un communiqué qu'il pourrait en découler une hausse significative du nombre d'internautes dans le monde.
"Ce n'est que la première étape, mais c'en est une extrêmement importante et une décision historique dans l'internationalisation d'internet", déclare le P-DG de l'ICANN Rod Beckstrom.
"Nous n'avons fait que rendre internet plus accessible à des millions de personnes dans des régions telles que l'Asie, le Proche-Orient et la Russie."
Plusieurs étapes seront nécessaires pour mettre en place la décision, la première débutant le 16 novembre.
Dans un premier temps, seuls les noms de domaines internationalisés (internationalized domain name) ou IDN de désignation des pays seront concernés par l'usage de caractères autres que les latins non accentués tels que le chinois, le coréen ou l'arabe.
A terme, tous les types de suffixes IDN seront concernés.
La proposition complète de l'ICANN a été mise en ligne à l'adresse http://www.icann.org/en/topics/idn/fast-track/idn-cctld-implementation-plan-30sep09-en.pdf.
L'ICANN a été créée en 1998 et placée sous l'égide du Département américain du Commerce. L'organisation décide des modifications susceptibles d'être apportées aux terminaisons des noms de domaines internet (TLD) tels que les emblématiques .com, .net ou ceux désignant des pays.
Le mois dernier, le gouvernement américain a accepté des modifications qui feraient que Washington ne soit plus le seul référent de l'ICANN.
L'Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN), qui a validé cette mini-révolution de l'adressage lors d'une réunion à Séoul, en Corée du Sud, a indiqué dans un communiqué qu'il pourrait en découler une hausse significative du nombre d'internautes dans le monde.
"Ce n'est que la première étape, mais c'en est une extrêmement importante et une décision historique dans l'internationalisation d'internet", déclare le P-DG de l'ICANN Rod Beckstrom.
"Nous n'avons fait que rendre internet plus accessible à des millions de personnes dans des régions telles que l'Asie, le Proche-Orient et la Russie."
Plusieurs étapes seront nécessaires pour mettre en place la décision, la première débutant le 16 novembre.
Dans un premier temps, seuls les noms de domaines internationalisés (internationalized domain name) ou IDN de désignation des pays seront concernés par l'usage de caractères autres que les latins non accentués tels que le chinois, le coréen ou l'arabe.
A terme, tous les types de suffixes IDN seront concernés.
La proposition complète de l'ICANN a été mise en ligne à l'adresse http://www.icann.org/en/topics/idn/fast-track/idn-cctld-implementation-plan-30sep09-en.pdf.
L'ICANN a été créée en 1998 et placée sous l'égide du Département américain du Commerce. L'organisation décide des modifications susceptibles d'être apportées aux terminaisons des noms de domaines internet (TLD) tels que les emblématiques .com, .net ou ceux désignant des pays.
Le mois dernier, le gouvernement américain a accepté des modifications qui feraient que Washington ne soit plus le seul référent de l'ICANN.