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Cette décision a été prise suite à une plainte déposée par le syndicat des fonctionnaires espagnols Manos Limpias, a-t-on appris, mercredi, auprès de la partie plaignante. "Les faits tels que présentés renferment des indices qui font état de l'existence présumée d'un délit de falsification d'un document public", indique le juge dans son arrêt.
Dans ce cas, argumente le juge, "il y a lieu d'ouvrir une procédure préliminaire" contre le dénommé Brahim Ghali. Le chef des séparatistes a été admis le 18 avril à l’hôpital San Pedro de Logroño sous la fausse identité algérienne d'un certain Mohamed Benbatouch.
Les médias espagnols ont d'autre part fait état de l'existence d'autres documents, notamment à caractère médical dans lesquels le chef des séparatistes du Polisario a été présenté sous le nom de Mohamed Abdellah.