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Rétinopathie diabétique, pied diabétique... Caractérisées par des troubles vasculaires, ces complications du diabète peuvent avoir de graves conséquences pour la santé du malade. Pour prévenir leur installation et les traiter au plus tôt le cas échéant, un diagnostic précoce est essentiel. Et pour cela, il est primordial qu'un dépistage régulier soit effectué.
Première cause de cécité acquise chez l'adulte, la rétinopathie diabétique concerne près de 200.000 malades en France. Et cela, alors même que les autorités sanitaires recommandent un dépistage pour prévenir la diminution de la vision, voire la cécité, provoquées par cette affection. La Haute Autorité de Santé (HAS) vient de rappeler l'importance de ce dernier, et de publier de nouvelles recommandations quant à son déroulement.
Le dépistage, en effet, doit être organisé au niveau régional afin de « prendre en compte les problèmes d'accès aux soins liés à la démographie médicale des ophtalmologistes, ou à des facteurs économiques ». Rien d'impossible en la matière : l'Union régionale des professionnels de santé (URPS) des médecins Libéraux de Bourgogne par exemple, avait devancé l'appel de la HAS. Depuis 7 ans déjà, elle mène une campagne annuelle de dépistage itinérant.
Afin de mettre en place un suivi plus efficace et un diagnostic plus précoce, la Haute Autorité recommande également une plus grande coordination entre professionnels de santé. Le médecin traitant du diabétique doit par exemple, « transmettre à l'ophtalmologiste le taux d'hémoglobine glyquée, l'existence ou non d'une hypertension ou encore l'ancienneté du diabète ». En retour, son confrère ophtalmologiste devrait lui fournir les résultats du dépistage de la rétinopathie diabétique. Rien de plus en fait, qu'une bonne communication confraternelle.
Première cause de cécité acquise chez l'adulte, la rétinopathie diabétique concerne près de 200.000 malades en France. Et cela, alors même que les autorités sanitaires recommandent un dépistage pour prévenir la diminution de la vision, voire la cécité, provoquées par cette affection. La Haute Autorité de Santé (HAS) vient de rappeler l'importance de ce dernier, et de publier de nouvelles recommandations quant à son déroulement.
Le dépistage, en effet, doit être organisé au niveau régional afin de « prendre en compte les problèmes d'accès aux soins liés à la démographie médicale des ophtalmologistes, ou à des facteurs économiques ». Rien d'impossible en la matière : l'Union régionale des professionnels de santé (URPS) des médecins Libéraux de Bourgogne par exemple, avait devancé l'appel de la HAS. Depuis 7 ans déjà, elle mène une campagne annuelle de dépistage itinérant.
Afin de mettre en place un suivi plus efficace et un diagnostic plus précoce, la Haute Autorité recommande également une plus grande coordination entre professionnels de santé. Le médecin traitant du diabétique doit par exemple, « transmettre à l'ophtalmologiste le taux d'hémoglobine glyquée, l'existence ou non d'une hypertension ou encore l'ancienneté du diabète ». En retour, son confrère ophtalmologiste devrait lui fournir les résultats du dépistage de la rétinopathie diabétique. Rien de plus en fait, qu'une bonne communication confraternelle.