Autres articles
-
Atterrissage d'urgence et 36 heures bloqués dans un marais entourés de caïmans
-
Flèches contre tracteurs : La bataille silencieuse dans l'Amazonie péruvienne
-
Trump se déguise en pape sur les réseaux sociaux et s'attire des critiques
-
Le Royaume-Uni forcé de revoir le service du thé à l'exposition universelle d'Osaka
-
Déclin des populations d'oiseaux en Amérique du Nord
Publiée ce mois-ci, une étude internationale de grande envergure a permis de découvrir 13 nouveaux gènes qui seraient associés à un risque plus élevé d'attaque cardiaque.
C'est en étudiant le génome de plus de 140.000 individus que les chercheurs sont parvenus à faire l'importante découverte : 13 nouveaux gènes ont été identifiés comme étroitement associés au risque de maladies coronariennes. Publiées ce mois-ci dans la revue Nature genetics, ces recherches pourraient permettre de développer de nouveaux traitements. Mais plus intéressant encore : elles offrent la possibilité de diagnostiquer à l'avance les individus présentant un risque éventuel d'attaque cardiaque.
"Le plus fascinant dans notre étude est que nous avons découvert plusieurs nouveaux gènes qui n'avaient jusqu'ici jamais été reconnus comme impliqués dans le développement de maladies coronariennes, principale cause des attaques cardiaques", a expliqué au Telegraph le Pr Nilesh Samani, membre de la British Heart Foundation et co-dirigeant de l'étude. De très grande envergure, celle-ci a été réalisée par plus de 167 praticiens dans différents pays en Europe, au Royaume-uni, aux Etats-Unis, etc.
Les résultats sont d'autant plus intéressants que seuls 3 de ces 13 nouveaux gènes se sont avérés être liés aux maladies coronariennes par l'intermédiaire des facteurs de risque classiques : cholestérol et pression artérielle élevés, diabète, tabac ou obésité. La prochaine étape sera donc désormais de parvenir à comprendre le fonctionnement et les mécanismes par lesquels ces gènes interviennent. Des recherches qui permettront d'en savoir davantage sur ces maladies et leurs causes.
C'est en étudiant le génome de plus de 140.000 individus que les chercheurs sont parvenus à faire l'importante découverte : 13 nouveaux gènes ont été identifiés comme étroitement associés au risque de maladies coronariennes. Publiées ce mois-ci dans la revue Nature genetics, ces recherches pourraient permettre de développer de nouveaux traitements. Mais plus intéressant encore : elles offrent la possibilité de diagnostiquer à l'avance les individus présentant un risque éventuel d'attaque cardiaque.
"Le plus fascinant dans notre étude est que nous avons découvert plusieurs nouveaux gènes qui n'avaient jusqu'ici jamais été reconnus comme impliqués dans le développement de maladies coronariennes, principale cause des attaques cardiaques", a expliqué au Telegraph le Pr Nilesh Samani, membre de la British Heart Foundation et co-dirigeant de l'étude. De très grande envergure, celle-ci a été réalisée par plus de 167 praticiens dans différents pays en Europe, au Royaume-uni, aux Etats-Unis, etc.
Les résultats sont d'autant plus intéressants que seuls 3 de ces 13 nouveaux gènes se sont avérés être liés aux maladies coronariennes par l'intermédiaire des facteurs de risque classiques : cholestérol et pression artérielle élevés, diabète, tabac ou obésité. La prochaine étape sera donc désormais de parvenir à comprendre le fonctionnement et les mécanismes par lesquels ces gènes interviennent. Des recherches qui permettront d'en savoir davantage sur ces maladies et leurs causes.