Autres articles
-
Une ville japonaise veut limiter à deux heures l'utilisation des smartphones
-
En Tunisie, une "révolution des boucles" contre les diktats de beauté
-
Et si l'IA rendait les médecins moins bons ?
-
Trump, Zelensky et la diplomatie vestimentaire
-
Des scientifiques découvrent un taux important de changement de sexe chez certains oiseaux
C’est un jeune prêtre américain de 28 ans, Andrew Trapp, qui joue au poker… dans sa paroisse de Garden City, en Californie du Sud… Lui, il a trouvé autre chose que les kermesses pour faire renter de l’argent ! Il participe à un tournoi de poker télévisé où on retrouve les meilleurs joueurs !
Il a eu l’autorisation de son évêque, le but étant de subvenir à l’entretien des bâtiments paroissiaux, selon l’hebdomadaire La Vie. Il est prêtre depuis deux ans… et on sait que « jouer pour de l’argent » n’est pas en odeur de sainteté dans les milieux catholiques conservateurs !
Il a quand même gagné à ce jeu 100 000 dollars. Il y avait 10 000 joueurs au départ pour une poignée de finalistes desquels il faisait partie.
S’il avait perdu, il n’aurait pas regretté d’avoir joué, car cela lui permet de montrer qu’il y a encore des jeunes qui deviennent prêtres et que pour autant ils ne renoncent pas à d’autres passions, comme celle du jeu !
Il devrait participer à un autre tournoi en décembre qui réunira les quatre meilleurs joueurs avec une somme en jeu d’1,5 million de dollars… Exactement, ce dont il a besoin pour son diocèse…
Les Américains croient que c’est son nom qui lui porte bonheur… Cela leur rappelle un film « La Mélodie du bonheur » où « une nonne part dans le monde pour y faire le bien… ».
Il a eu l’autorisation de son évêque, le but étant de subvenir à l’entretien des bâtiments paroissiaux, selon l’hebdomadaire La Vie. Il est prêtre depuis deux ans… et on sait que « jouer pour de l’argent » n’est pas en odeur de sainteté dans les milieux catholiques conservateurs !
Il a quand même gagné à ce jeu 100 000 dollars. Il y avait 10 000 joueurs au départ pour une poignée de finalistes desquels il faisait partie.
S’il avait perdu, il n’aurait pas regretté d’avoir joué, car cela lui permet de montrer qu’il y a encore des jeunes qui deviennent prêtres et que pour autant ils ne renoncent pas à d’autres passions, comme celle du jeu !
Il devrait participer à un autre tournoi en décembre qui réunira les quatre meilleurs joueurs avec une somme en jeu d’1,5 million de dollars… Exactement, ce dont il a besoin pour son diocèse…
Les Américains croient que c’est son nom qui lui porte bonheur… Cela leur rappelle un film « La Mélodie du bonheur » où « une nonne part dans le monde pour y faire le bien… ».