-
Kenya: OCP Africa lance son School Lab au profit de 45.000 agriculteurs
-
Mexico: Focus sur le climat des affaires et les opportunités d'investissement au Maroc
-
Marrakech accueille la 118ème édition de la convention annuelle de l’AFI (TITRE)
-
Saisine d'office pour ouvrir une procédure d'instruction afin d'examiner le fonctionnement concurrentiel du marché de l'approvisionnement en sardine
-
La tomate marocaine fait de nouveau grincer des dents en Hexagone
Ledit colloque compte mobiliser quelque 250 représentants de parties prenantes : institutionnels, collectivités et élus, universitaires, ONG, associations professionnelles, managers de Lydec et de Suez ainsi qu’une cinquantaine d’étudiants des universités et des grandes écoles du Grand Casablanca. Ainsi, cette rencontre est marquée par trois temps forts, dévoile un communiqué de Lydec parvenu à Libé, précisant qu’il s’agit, primo, d’une plénière d’ouverture pour présenter les enjeux de la COP 22 au Maroc, en continuité avec les Accords de Paris et la place des partenariats public-privé ; secundo, d’une table-ronde sur les enjeux et opportunités du changement climatique pour le territoire du Grand Casablanca, notamment dans le cadre d’une approche partenariale entre les acteurs publics locaux, les entreprises et la société civile et tertio, de l’annonce des résultats du premier bilan Carbone de Lydec ainsi que ses engagements climat, pris en amont de la COP 22.
Il est à signaler, en outre, que ce colloque intervient après que la Fondation Lydec a, tout récemment, tenu «Les Ateliers génération climat» en mobilisant, pour la lutte contre le changement climatique, plus de 250 étudiants universitaires, 30 professeurs issus de 18 établissements de l’enseignement supérieur du Grand Casablanca.
A cette occasion, Jean-Pascal Darriet, président de la Fondation Lydec et DG de Lydec, a déclaré : «Accueillir la COP22 est une opportunité historique de souligner l’engagement du Maroc dans la lutte contre le changement climatique. Le Maroc est situé dans une zone qui est particulièrement vulnérable à ses effets et affectée structurellement par un stress hydrique intense. Il est donc naturel et légitime que le Maroc soit sensible à ce phénomène». Et de préciser : «Pour nous, la COP22 est une occasion de manifester notre mobilisation en tant qu’entreprise engagée dans le domaine de la maîtrise de nos impacts environnementaux».
Dans ce sens, M. Darriet a tenu à faire savoir qu’en tant qu’opérateur structurant de services publics et de par la nature de ses métiers, Lydec est un acteur naturellement engagé dans une démarche de développement durable rappelant qu’à fin 2014, l’entreprise a adopté sa deuxième feuille de route pour le développement durable renforçant ainsi l’intégration des enjeux environnementaux, sociaux, sociétaux et économiques dans sa stratégie.