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Une pléiade de chercheurs, universitaires, experts, spécialistes en commerce électronique (e- commerce) et de responsables de PME, marocains et étrangers en provenance de France, Canada, Corée, Italie, Tunisie, Belgique, et Cameroun, ont fait le déplacement récemment à Marrakech, dans le cadre d'un colloque international, organisé par la section de l'Institut des sciences et de technologie de l'Université britannique de Sunderland à Rabat.
Le thème fixé pour ce conclave de trois jours est : « e- commerce, paiement électronique et applications ». Cette rencontre scientifique a permis aux participants de jeter toute la lumière sur le rôle du commerce électronique, en tant que facteur de création de valeurs et de richesses surtout pour les petites et moyennes entreprises (PME).
Créateur de richesses, l'e- commerce se veut, en outre, une activité créatrice d'emplois de nature à favoriser la croissance des échanges commerciaux entre les pays. Les participants ont été unanimes à affirmer que le développement de ce commerce combien lié au rythme de consommation, reste tributaire d'une multitude de facteurs, tels que la modernisation des entreprises, la réduction de la fracture numérique entre les pays riches et ceux en développement, ainsi que la protection du consommateur par le biais de la mise en place de cadres juridiques, à même d'assurer une meilleure réglementation de ce secteur.
Ils ont fait remarquer, par ailleurs, que la pratique du e- commerce est limitée uniquement, à l'heure actuelle, aux marchés internes de certaines nations les plus développées essentiellement en Europe et aux Etats-Unis, avant de mettre en lumière certains avantages de ce mode d'échange électronique, pour les entreprises en raison de leur coût abordable mais aussi en termes de gain de temps.
La promotion du e- commerce au Maroc reste tributaire du regain de confiance et de la garantie de sécurité entre les utilisateurs, estime Abdellatif Maazouz, directeur-adjoint de l'Institut des sciences et de technologie de l'Université britannique de Sunderland à Casablanca, pensant que le développement du e- commerce est toujours lent au Maroc, en comparaison avec d'autres pays africains jugés très avancés dans ce domaine.
Un tel retard découle du résultat direct d'un manque de confiance mais aussi de l'attachement du citoyen marocain à certaines habitudes en matière de vente et d'achat, a expliqué cet expert, avant de qualifier le système informatique au Maroc de très performant et parfaitement au diapason des nouveautés enregistrées dans ce domaine à l'échelle internationale.
Et de poursuivre que le Maroc a connu, cette année, un saut qualitatif en matière du e-commerce qui s'est soldé par la création de nombreux sites électroniques spécialisés dans la vente et le paiement via Internet (60 sites complets),
Cette rencontre a permis aussi aux participants de se focaliser sur d'autres questions concernant « e-commerce global », « le management », « la nouvelle technologie » et « le tourisme électronique ».
A l'ordre du jour, entre autres, une série d'ateliers thématiques, une occasion de permettre aux PME de s'informer sur les méthodes d'élaboration de projets liés au commerce électronique ainsi que sur les moyens de gagner la confiance des clients à travers la présentation de garanties de sécurité lors des différentes transactions électroniques.
Le thème fixé pour ce conclave de trois jours est : « e- commerce, paiement électronique et applications ». Cette rencontre scientifique a permis aux participants de jeter toute la lumière sur le rôle du commerce électronique, en tant que facteur de création de valeurs et de richesses surtout pour les petites et moyennes entreprises (PME).
Créateur de richesses, l'e- commerce se veut, en outre, une activité créatrice d'emplois de nature à favoriser la croissance des échanges commerciaux entre les pays. Les participants ont été unanimes à affirmer que le développement de ce commerce combien lié au rythme de consommation, reste tributaire d'une multitude de facteurs, tels que la modernisation des entreprises, la réduction de la fracture numérique entre les pays riches et ceux en développement, ainsi que la protection du consommateur par le biais de la mise en place de cadres juridiques, à même d'assurer une meilleure réglementation de ce secteur.
Ils ont fait remarquer, par ailleurs, que la pratique du e- commerce est limitée uniquement, à l'heure actuelle, aux marchés internes de certaines nations les plus développées essentiellement en Europe et aux Etats-Unis, avant de mettre en lumière certains avantages de ce mode d'échange électronique, pour les entreprises en raison de leur coût abordable mais aussi en termes de gain de temps.
La promotion du e- commerce au Maroc reste tributaire du regain de confiance et de la garantie de sécurité entre les utilisateurs, estime Abdellatif Maazouz, directeur-adjoint de l'Institut des sciences et de technologie de l'Université britannique de Sunderland à Casablanca, pensant que le développement du e- commerce est toujours lent au Maroc, en comparaison avec d'autres pays africains jugés très avancés dans ce domaine.
Un tel retard découle du résultat direct d'un manque de confiance mais aussi de l'attachement du citoyen marocain à certaines habitudes en matière de vente et d'achat, a expliqué cet expert, avant de qualifier le système informatique au Maroc de très performant et parfaitement au diapason des nouveautés enregistrées dans ce domaine à l'échelle internationale.
Et de poursuivre que le Maroc a connu, cette année, un saut qualitatif en matière du e-commerce qui s'est soldé par la création de nombreux sites électroniques spécialisés dans la vente et le paiement via Internet (60 sites complets),
Cette rencontre a permis aussi aux participants de se focaliser sur d'autres questions concernant « e-commerce global », « le management », « la nouvelle technologie » et « le tourisme électronique ».
A l'ordre du jour, entre autres, une série d'ateliers thématiques, une occasion de permettre aux PME de s'informer sur les méthodes d'élaboration de projets liés au commerce électronique ainsi que sur les moyens de gagner la confiance des clients à travers la présentation de garanties de sécurité lors des différentes transactions électroniques.
