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Elle a souligné que l’organisation de cette table ronde s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de cette loi et l’harmonisation de la législation nationale avec le droit international humanitaire, ainsi que le rôle de l'institution parlementaire à cet égard, tout en mettant en avant que le Maroc a été l'un des premiers pays à signer un nombre important de traités internationaux relatifs aux droits humains, dont la Convention ayant trait à l'élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes, entre autres.
«Il est nécessaire de faire une sorte d'inventaire de la législation nationale pour déterminer dans quelle mesure nous sommes impliqués dans la mise en oeuvre des engagements du pays en ce qui concerne l’harmonisation de notre législation avec les conventions internationales », a souligné Aouicha Zelfi dans son intervention lors de cette table ronde.
Concernant la réforme des dispositions pénales, la députée de l’USFP a mis l’accent sur la nécessité de l’action anticipative du Parlement «en tant que pouvoir législatif» pour faire prévaloir cette réforme.
Aouicha Zelfi a évoqué la question féminine dans son intervetion et notamment le calvaire vécu par les femmes dans les camps de Tindouf.
« Je saisis l'occasion du mois de mars et de la célébration de la Journée internationale de la femme, pour évoquer la souffrance des femmes sahraouies qui sont exposées à toutes les formes de violences physiques, sexuelles et psychologiques et à toutes les formes de harcèlement sexuel dans les camps de l'humiliation et de la honte à Tindouf», s’est-elle indignée. Et la députée ittihadie de conclure : « Il est temps que ces femmes retournent à la mère patrie pour jouir de tous leurs droits, à l’instar de leurs sœurs qui occupent désormais des postes importants dans les centres de décision ».
H. T