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Il ne faut donc pas s’attendre à voir « Arriyadia » revêtir un autre aspect que celui qui la caractérise depuis sa création. A moins que le nouveau responsable ne procède tout autrement. A vrai dire, c’est tout un chantier pour une chaîne qui a fait un mauvais départ et qui tarde à rectifier le tir. Au moment de son lancement, on avait l’impression que c’est carrément la télévision qu’elle voulait inventer en faisant abstraction d’un demi-siècle d’expérience dans le domaine. Et assez curieusement, c’est la presse écrite que l’on a cherché à déplumer. Quelques jeunes plumes se sont laissé alors tenter par cette aventure, mais bon nombre d’entre elles ont trop vite dû déchanter pour retrouver leurs vieilles amours. Et, à quelques exceptions près, les commentaires accompagnant les matchs suffisent à eux seuls pour gâcher le spectacle.
Que restait-il? Des émissions, ou supposées telles, hybrides. Mises à part une ou deux, les autres seraient inqualifiables. On aura tout vu jusqu’au présentateur ou journaliste qui s’improvise en conférencier ou en donneur de leçons. Tout cela n’était pas fait pour aider Younès Alami dans sa mission. Les 4% dont on gratifie la chaîne pour ce qui est du taux d’audimat et la réticence des annonceurs sont autant d’indices d’un constat d’échec confirmé. Il faut plus qu’un lifting. Il faut se résigner à faire le gros ménage. Najem saura-t-il tenir le pari?