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Dans le cadre de la troisième Journée européenne de lutte contre la traite des êtres humains, une nouvelle campagne publicitaire a été lancée pour inciter les consommateurs à réfléchir sur l’origine et les conditions de fabrication des produits qu’ils achètent.
Pour l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), l’exploitation de la main d’oeuvre doit être éliminée absolument. Douze millions de personnes dans le monde sont victimes d’exploitation et de travail forcé. La nouvelle campagne publicitaire « Buy responsibly » touche directement les consommateurs en leur demandant de contribuer de façon active à l’élimination de la traite humaine.
Le directeur de l’OIM explique : « Depuis trop longtemps, on croit que la pauvreté et la discrimination entre les sexes sont les causes profondes de la traite des êtres humains, et que c’est à celles-ci qu’il faut s’attaquer. La traite des êtres humains est tout simplement motivée par la demande de main-d’oeuvre et de produits excessivement bon marché provenant de toutes les régions du monde. » Le vieillissement de la population et la baisse de la fécondité dans les pays développés s’ajoutent à la jeunesse et au surplus de main-d’oeuvre des pays en développement.
Les filières de migration clandestines se sont multipliées. Le nombre de victimes de la traite auxquelles l’OIM vient en aide n’a cessé d’augmenter, surtout ces cinq dernières années. Les victimes sont essentiellement des hommes et des garçons, contraints de travailler dans les secteurs de l’agriculture, de la construction, de la pêche et des services domestiques. Pour le directeur de l’OIM, « l’exploitation ne devrait pas être le moteur de la croissance économique. Les consommateurs et les entreprises doivent modifier leur mentalité et leurs pratiques. »
Pour l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), l’exploitation de la main d’oeuvre doit être éliminée absolument. Douze millions de personnes dans le monde sont victimes d’exploitation et de travail forcé. La nouvelle campagne publicitaire « Buy responsibly » touche directement les consommateurs en leur demandant de contribuer de façon active à l’élimination de la traite humaine.
Le directeur de l’OIM explique : « Depuis trop longtemps, on croit que la pauvreté et la discrimination entre les sexes sont les causes profondes de la traite des êtres humains, et que c’est à celles-ci qu’il faut s’attaquer. La traite des êtres humains est tout simplement motivée par la demande de main-d’oeuvre et de produits excessivement bon marché provenant de toutes les régions du monde. » Le vieillissement de la population et la baisse de la fécondité dans les pays développés s’ajoutent à la jeunesse et au surplus de main-d’oeuvre des pays en développement.
Les filières de migration clandestines se sont multipliées. Le nombre de victimes de la traite auxquelles l’OIM vient en aide n’a cessé d’augmenter, surtout ces cinq dernières années. Les victimes sont essentiellement des hommes et des garçons, contraints de travailler dans les secteurs de l’agriculture, de la construction, de la pêche et des services domestiques. Pour le directeur de l’OIM, « l’exploitation ne devrait pas être le moteur de la croissance économique. Les consommateurs et les entreprises doivent modifier leur mentalité et leurs pratiques. »