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Les personnes optimistes auraient moins de cholestérol et de triglycérides que les autres, selon une étude.
Les chantres de l’optimisme peuvent se targuer d’avoir un meilleur taux de “bon" cholestérol, affirment des chercheurs de la Harvard School of Public Health. Le "bon cholestérol" est formé de lipoprotéines HDL (ou HDL cholestérol) qui protègent le cœur et aident à se débarrasser du "mauvais" cholestérol. Ce dernier, également appelé LDL cholestérol, a au contraire tendance à se déposer sur les artères, facteur de risque cardiovasculaire.
Penser positif favoriserait aussi un niveau plus faible de triglycérides, ces composés lipidiques (des graisses) qui apportent de l’énergie à notre organisme. Quand ces acides gras sont surabondants, ils augmentent aussi le risque de maladies cardiovasculaires.
Les chercheurs ont constaté que chaque augmentation de 5 points sur l’échelle de l’optimisme se traduisait par une hausse du bon cholestérol à hauteur d’un milligramme par décilitre. Les optimistes ont une bonne hygiène de vie
Plus on voit la vie en rose, plus on protège nos artères ! Le lien de cause à effet n’est pas si évident. Les chercheurs subodorent que les optimistes ont tendance à manger équilibré et à surveiller leur poids.
On sait en effet qu’une alimentation trop riche en mauvaises graisses et en sucres rapides favorise la hausse des taux de cholestérol (et de mauvais cholestérol) et de triglycérides.
L’optimisme est bon pour le cœur et le pessimisme un poison ? Pas si simple. Les études se contredisent. Le risque d’infarctus serait plus élevé chez les personnes déprimées, selon certaines études. Mais rien ne prouve qu’un pessimiste qui basculerait dans l’optimisme diminue ses risques cardiaques, tempèrent les chercheurs britanniques.
Si vous penchez plutôt vers le pessimisme, ne changez rien alors. Il paraît que cela permet de vivre plus longtemps.
Les chantres de l’optimisme peuvent se targuer d’avoir un meilleur taux de “bon" cholestérol, affirment des chercheurs de la Harvard School of Public Health. Le "bon cholestérol" est formé de lipoprotéines HDL (ou HDL cholestérol) qui protègent le cœur et aident à se débarrasser du "mauvais" cholestérol. Ce dernier, également appelé LDL cholestérol, a au contraire tendance à se déposer sur les artères, facteur de risque cardiovasculaire.
Penser positif favoriserait aussi un niveau plus faible de triglycérides, ces composés lipidiques (des graisses) qui apportent de l’énergie à notre organisme. Quand ces acides gras sont surabondants, ils augmentent aussi le risque de maladies cardiovasculaires.
Les chercheurs ont constaté que chaque augmentation de 5 points sur l’échelle de l’optimisme se traduisait par une hausse du bon cholestérol à hauteur d’un milligramme par décilitre. Les optimistes ont une bonne hygiène de vie
Plus on voit la vie en rose, plus on protège nos artères ! Le lien de cause à effet n’est pas si évident. Les chercheurs subodorent que les optimistes ont tendance à manger équilibré et à surveiller leur poids.
On sait en effet qu’une alimentation trop riche en mauvaises graisses et en sucres rapides favorise la hausse des taux de cholestérol (et de mauvais cholestérol) et de triglycérides.
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