Autres articles
-
Quelle est la durée de vie d'une puce IA, la question à plusieurs centaines de milliards
-
Entre 121 et 142 millions de personnes travaillent dans l'économie circulaire à l’échelle mondiale
-
Une influente étude sur le glyphosate retirée après des années d'alertes sur l'implication de Monsanto
-
A trois ans, un Indien devient le plus jeune joueur d'échecs classé
-
Une première : Découverte des éclairs sur la planète Mars
Une étude montréalaise a démontré que la pratique du sport au primaire réduit les comportements défiants chez les garçons.
Selon cette étude, publiée mardi dans la revue "European Child & Adolescent Psychiatry", la pratique régulière d’un sport organisé entre 6 et 10 ans réduit de manière significative les comportements défiants chez les garçons.
"L’âge de 6 à 10 ans est une fenêtre très importante", indique la psychologue Linda Pagani de l’Université de Montréal. "Les parents ont encore de l’influence, les enfants n’ont pas trop de devoirs. Il est très important d’en profiter pour qu’ils accumulent d’autres acquis par les activités parascolaires", souligne Pagani, qui est à l'origine du lancement de l'étude.
L’étude n’a pas permis de faire le même constat pour les filles. "Au début de l’adolescence, ce sont les garçons qui ont des problèmes d’opposition et de désobéissance face à l’autorité", estime Pagani.
Depuis l’arrivée des réseaux sociaux, il est encore plus important que les jeunes fassent du sport au primaire, estime la psychologue.
La recherche met aussi en avant le contraste entre les effets positifs du sport et l’influence négative croissante des écrans et des réseaux sociaux sur la socialisation des jeunes.
L’étude a été menée auprès de plus de 2000 enfants québécois nés en 1997 et 1998.
Selon cette étude, publiée mardi dans la revue "European Child & Adolescent Psychiatry", la pratique régulière d’un sport organisé entre 6 et 10 ans réduit de manière significative les comportements défiants chez les garçons.
"L’âge de 6 à 10 ans est une fenêtre très importante", indique la psychologue Linda Pagani de l’Université de Montréal. "Les parents ont encore de l’influence, les enfants n’ont pas trop de devoirs. Il est très important d’en profiter pour qu’ils accumulent d’autres acquis par les activités parascolaires", souligne Pagani, qui est à l'origine du lancement de l'étude.
L’étude n’a pas permis de faire le même constat pour les filles. "Au début de l’adolescence, ce sont les garçons qui ont des problèmes d’opposition et de désobéissance face à l’autorité", estime Pagani.
Depuis l’arrivée des réseaux sociaux, il est encore plus important que les jeunes fassent du sport au primaire, estime la psychologue.
La recherche met aussi en avant le contraste entre les effets positifs du sport et l’influence négative croissante des écrans et des réseaux sociaux sur la socialisation des jeunes.
L’étude a été menée auprès de plus de 2000 enfants québécois nés en 1997 et 1998.









Quelle est la durée de vie d'une puce IA, la question à plusieurs centaines de milliards
